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Celle cité de Romme est la plus grant ville de cristienté, mais il y a de présent plus de masures que de maisonnaiges, pour les grans guerres, qui anciennement y ont esté (LE BOUVIER, Descript. pays H., p.1451, 84). |
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...neantmoins que illecques jadiz ait esté la forge nourrice et la mine des guerres de France (GERMAIN, Discours outr. S., 1452, 336). |
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Tout ce que j'entends cy après ... dire des famines, guerres, pestilences et autres dispositions du temps, advenues depuis l'an MCCCCXXXVII par chascun an, doibt estre entendu estre advenu en l'an compté selon l'usage de l'esglise de Rome, selon lequel usage l'an commence le premier jour de janvier inclus et finit le dernier jour de decembre inclus. (* *, 24). |
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nom obstant toutes chartéz de vivres, guerres et autres povretéz et pestillences, il a tousjours amenistré leurs vivres et entretenu et reparé led. monastere bien et souffizaument selon les facultéz et revenues de lad. eglise. (* *, 12). |
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pour les longues malices et males fortunes des guerres lesquelles ont eu cours en ce royaulme (* *, 15). |
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En ceste ville assegee se trouva ung chevalier arthesien, (...), parti nouvellement de l'hostel du duc bourguignon, aprés ses guerres gantoises (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 77). |
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La diseneufvisme cause, c'estassavoir que entre lez nobles de toutes nations des catholiques les mainsnes, c'estassavoir lez secons et lez tiers nes et autres qui selonc lez coustumes dez pays ont petite ou nulle partion en l'iritage de leurs peres, lezquelz souventefois sont contrains par povrete de poursivir lez guerres injustes (...), pource qu'il ne sevent autre mestier, il font tant de maulz que ce seroit horrible chose a escrire dez pilleries et oppressions qu'il font au povre peuple - tels gens nostre sainte Chevalerie benignement en certain nombre recevra et leur amenistera honestement leur vivre (MéZIèRES, Sustance H., 1396, 70). |
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...il entra en la plaine ; sy n'y eut guerres esté, quant le seigneur de Duras y sourvint et aprez la salutation pour la faire freschement il laissa coure le coursier contre le chevalier blanc, lequel ne luy failly pas. (Jehan d'Avennes F., c.1465-1468, 63). |
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Et n'y eut guerres esté, quant il perchut le duc d'Iorc, lance baisee, tirer celle part ou le duc de Bourgongne estoit pour faire reng devant soy, mais il ne luy laissa pas achever son emprinse, ains le ala adevanchier, comme hardy et corageux (Jehan d'Avennes F., c.1465-1468, 81). |
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Et (...) pour ce que en l'excercite des guerres il a souffert grans paines et grans travaulz, maintenant il se va un petit soullassier et esbattre par le païs voisin de ses terres pour recevoir de leessement et de consollacion. (RASSE BRUNH., Flor. Elvide B.N. C., a.1456, 12). |
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Attestation de 