C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de gendre dans la Base des Partiels 

23 attestations 
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[1] ...toutesfois ilz ne sceurent tant faire envers Nature qu'ilz peussent acquerir gendre, ains furent chincq ans ensemble en sterilité (Fille comte Pontieu B., c.1465-1468, 73).
[2] Lors prist il sa fille, entrer la fist dedens le tonneau par ung dez bous qui estoit enfonssé, et (...) il fist le fons par ou elle estoit entree mettre en point, puis oingni trés bien lez joincturez de harpoy, et non obstant qu'elle fust son gendre, luy mesmez seulement fist tant qu'il rondela le tonneau jusquez au bort du batteau et consequamment le bouta sy durement du piet qu'il l'espaindy bien avant en la mer (Fille comte Pontieu B., c.1465-1468, 91).
[3] Faictes appeller l'umain gendre Et ... deliverrons Quant l'autre partie verrons. (Myst. Advoc. N.D. R., c.1360-1365, 59).
[4] Puis leur faisons commandement Qu'i croissent par leur geniture, Tant bestes que oysiaulx proprement, Chascun d'eulx selon leur nature, Et soyent accouppléz par droitture, Deux ... deux, pour seurement naistre, Affin qu'il n'y ait forfaicture En gendre privé ne silvestre. (Myst. Pass. Troyes B., a.1482, 28).
[5] En une vierge du germe de Sÿon Sera conceu de nostre saint Esperit, Selond qu'il est es escripts mencion, Venue du sang et gendre de David. (Myst. Pass. Troyes B., a.1482, 146).
[6] Preudhoms, pencez songneusement De ce sainct et precïeux gendre ; Car vous debvez moult bien entendre A son doulx entretenement. (Myst. Pass. Troyes B., a.1482, 311).
[7] Jhesus gracïeux, Nom substancïeux Pour le gendre humain, Hault et precïeux Venu des saincts cieulx, Te croy pour certain ! (Myst. Pass. Troyes B., a.1482, 570).
[8] LUCIFER. Couvin mauldit, gendre infernal, Monstres divers, substances viles, Ors serpens, hideux cocodrilles, Vieulx aspis, orribles dragons, Viendrés vous point ? (Myst. Pass. Troyes B., a.1482, 822).
[9] \à monseigneur Charles de Bourbon, gendre et filz de monseigneur le duc de Bourgoingne, auquel mondit seigneur par ses lettres patentes donnees à Provins le XXIIIIe jour de mars mil IIIIc et XVIII a ordonné qu'il ait et prengne de lui, pour lui aidier et soustenir son estat, 300 frans de gaiges ou pensions par mois (Comptes Etat bourg. M.F., t.1, 1419-1420, 23).
[10] \à Jehan Yvon, son gendre, pour unes armoires, qu'il a fait faire au palays, pour les harnoys du roy (Comptes roi René A., t.1, 1451-1480, 16).

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