C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de feroient dans la Base des Partiels 

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[1] ...et ne se fault point travaillier d'aller en fourraige, car ce seroit la perdicion de ceulx qui le feroient (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 230).
[2] Et est leur creance que generalement tous foulz et diotz sont vrays sainctz, et en leur vie leur portent aultant d'honneur, comme les Crestiens feroient a ung sainct corps (Pèler. D., 1486, 385).
[3] Item, de Keininczeberghe, retournay ... Danzique, et en iceluy temps vindrent nouvelles que les seigneurs de Prusse feroient rèse, sur l'esté, sur le roy de Poulane et sur le duc de Pomère (LANNOY, Voy. amb. P.H., p.1450, 26).
[4] Le Roy ordonna (...) que tous les gens d'armes (...) feroient leurs monstres (LE BOUVIER, Chron. Ch. VII C.C.J., c.1451-1455, 271).
[5] lesquieulx nous fismes jurer que bien et loiaument ilz feroient la dicte tauxacion. Et par eux fut tauxé et aprecié que pippe de vin de pais valloit (...) X livres tournois (Chron. Mt-St-Mich. L., t.1, Pièces diverses, 1418-1432, 175).
[6] Crochoient les haces de l'un l'aultre et feroient sur les mains, et la ou ilz pooient ruer jusques au corps donnarent de terribles estocquades (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 168).
[7] O s'ilz mettoient aussi grant diligence a extirper les vices et a usurper les vertus comme ilz font a mouvoir questions, certes ilz ne feroient ja tant de maulx ne d'escandle au peuple, et ne seroit point tant de dissolucion en ces convens ! (Internele consol. P., 1447, 279).
[8] Le conte d'Urgel fu a cest acort et fu dit qu'ilz feroient deux partiez de mille combatans (Comte Artois S., c.1453-1467, 34).
[9] Et de ceste parolle furent si esbahis tous les estrangiers qu'ilz conclurrent qu'ilz feroient par le conseil de ceulz d'Oliferne, reservé Jason qui lors ouvry son noble corage et dist... (LEFèVRE (R.), Hist. Jason P., c.1460, 141).
[10] Quant Jason eut ce dit, la royne Ysiphile se tira d'une part avec ses dames et leur demanda qu'elles feroient de ces nobles beaulx hommes. Elles furent toutes d'oppinion que ce seroit mal fait de les laisser morir de fain, et conclurent qu'elles les recepveroient non obstant leurs ordonnances et estatus. (LEFèVRE (R.), Hist. Jason P., c.1460, 171).

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