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...quant nostre Saint Pere mesmes voloit mettre la main ... l'euvre et sollicitoit le parfait, luy, qui estoit l'ung des principaulx moveurs de la crestienneté en cely cas [croisade contre les Turcs] et des premiers offrans, maintenant par plus forte raison s'i devoit offrir et emploier (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 215). |
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Car en ce se fait une euvre non pas seulement par laquele Dieu veult grace donner, mais aussy il y a cause motive par laquele la personne est excitee a devotion, en ce que l'on a presente la fontaine de toute doulceur et le large donneur de toute grace. (Traité S. Sacr. B., c.1451-1500, 151). |
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Les pluiseurs reprouvables, quy s'en abstiennent [du saint sacrement] par une maulvaise accoustumance, resamblent ceulz quy ont poix et poix, mesure et mesure, quy sont, comme dist l'Escripture, abhominations devant Dieu : car, quant ilz reçoivent le sacrement, ilz reputent et se reposent comme d'avoir fait bonne euvre (Traité S. Sacr. B., c.1451-1500, 166). |
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Par quelconque excercice que la personne peut plus estre promeute a tele mortification de soy et vivification et transformation en Jhesu Crist, soit par lechon, meditation, oroison, euvre de misericorde corporele ou espirituele, par ce de tant plus est elle disposee a la sainte et sacree communion. (Traité S. Sacr. B., c.1451-1500, 176). |
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Mais afin que la mort soit toujours sapechoueuse a chascune persone, et que chascun de toute sa poissance se doie appareillier a recevoir la mort et paier justement a son pooir le treuage de l'umaine generacion, pour ce est il que Dieu a reservé a lui tout seul et l'euvre et la maniere de la mort de chascune personne (MéZIèRES, Test. G., 1392, 300). |
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Assés est dit donques desus voire en sustance que Dieu donne le beuf mais non pas la corne : il veut que chascun doie metre la main a l'euvre, veillier et labourer de sa part pour bien morir (MéZIèRES, Test. G., 1392, 304). |
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Sire, cest euvre est d'homme parfait non relaxer jamais son corage de l'entencion des choses celestes, et entre moult de cures passer comme sans cure, non mie en maniere de niche, mais par prerogative de franche pensee non adherer a quelque creature par affection desordenee. (Internele consol. P., 1447, 147). |
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Quelque euvre exteriore ne prouffite rien sans charité, mais tout ce qui est fait par charité, quelque petit qu'il soit ou despité, il est tout fait fructueux. Car Dieu pense plus de quel corage aucun euvre que l'euvre que cil fait. (Internele consol. P., 1447, 307). |
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Quelque euvre exteriore ne prouffite rien sans charité, mais tout ce qui est fait par charité, quelque petit qu'il soit ou despité, il est tout fait fructueux. Car Dieu pense plus de quel corage aucun euvre que l'euvre que cil fait. (Internele consol. P., 1447, 307). |
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Quelque euvre exteriore ne prouffite rien sans charité, mais tout ce qui est fait par charité, quelque petit qu'il soit ou despité, il est tout fait fructueux. Car Dieu pense plus de quel corage aucun euvre que l'euvre que cil fait. (Internele consol. P., 1447, 307). |
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Attestation de 