C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de eussent dans la Base des Partiels 

192 attestations 
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[1] ...tous les jours, menasse d'abatre une petite chappelle du Saint Esperit ou mont de Syon et pieç... l'eussent fait, se n'eussent esté voz armes, Sire, et celles de Monseigneur de Bourgongne et d'autres princes chrestiens qui illecques sont, qu'il doubte ... casser. (GERMAIN, Discours outr. S., 1452, 324).
[2] ...tous les jours, menasse d'abatre une petite chappelle du Saint Esperit ou mont de Syon et pieç... l'eussent fait, se n'eussent esté voz armes, Sire, et celles de Monseigneur de Bourgongne et d'autres princes chrestiens qui illecques sont, qu'il doubte ... casser. (GERMAIN, Discours outr. S., 1452, 324).
[3] L'an dessus dit, le sire de Secalles (...) mist le siege devant le Mont Saint Michiel ou il amena de plus divers abillemens qui eussent esté de tout le temps de ceste guerre (Chron. Mt-St-Mich. L., t.1, 1343-1468, 34).
[4] se icellui suppliant ne se feust mis a defense, l'eussent tué ou au moins très griefment affolé et blecié. (Chron. Mt-St-Mich. L., t.1, Pièces diverses, 1418-1432, 252).
[5] et eussent fait savoir par leurs officiers, par troys dimenches touz continuez, ... l'oye de la parroisse de Saint Pierre du dit lieu du Mont, s'il y avoit aucune personne qui voulsist prendre ... rente le droit d'icelle bastardie (Chron. Mt-St-Mich. L., t.2, Pièces diverses, 1432-1463, 97).
[6] ... [Le chancelier de France aux ambassadeurs du duc de Bourgogne] pour obvier aux inconveniens qui par l'ennortement de ceulx qui ont ainsi conseillié mondit seigneur [le daulphin], feussent peu venir - lesquelz, puis qu'ilz ont ainsi aventuré sa personne par voyes perileuses et dangereuses, ainsi que vous meismes, messieurs les ambassaeurs, avez dit et proposé, estoit a doubter que, par le moyen dudit pays [le daulphin] et des places et fortresses d'iceluy, ilz eussent peu faire et entreprendre des choses au desplaisir du roy et prejudice de mondit seigneur et du pays -, le roy a esté conseillié de soy transporter oudit pays, et y donner provision et le mettre en sceurté et maniere que aulcun inconvenient n'en ensieve. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 67).
[7] ...plus alloit le temps avant, plus [le daulphin] s'engluoit ou pays et survindrent causes et difficultéz plus et plus dures et pour en partir mains. Ne declina mie toutevoyez lesdis ambassaeurs daulphinois jusques les ambassaeurs de son bel oncle eussent fait leur rapport, qui ce pendant estoient arrivéz a Bruselles ; mes eulx oÿs, les delivra et les envoya aveuques belles parolles, sans aulcun fruit toutevoyez en leur peticion, comme se peut traire assez de la parfundité de la matere tant et tant amplement cy devant deduite. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 88).
[8] ... [Les ambassadeurs du duc de Bourgogne auprès du roi de France] aians bien en leur souvenir leur recueil qui avoit esté estrange, ly [au duc] en racompterent toutes les manieres et les samblans qu'on leur avoit monstré, qui tous tournoient a fierté et a despit envers eulx. Luy racompterent aussy la tresconfuse et doloreuse sentence du duc d'Alenchon et la maniere de son condempner, dont l'effect leur sambloit estre une batture d'un cayeau du chien devant le lyon grant, et l'avoient bien notee, jasoit ce que moult jugerent a malvaises ses oeuvres et bien dignes de pugnition ; mes eussent bien volu que le roy, pour l'honneur du sang, ne l'eust pas scandalisé si fort (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 152).
[9] ...se l'autre part [en Angleterre] eust esté vainqueresse et au deseure de son pretendre, François lui [au duc de Bourgogne] eussent donné dur a souffrir par icelle, comme qui de tout long temps y avoient mis leur estudie (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 279).
[10] ...pareillement ne le [le duc d'Alençon] vouloient les chevaliers ses freres [dans l'ordre de la Toison d'or] honorer droit cy ne condempner pour ce que, s'il l'eussent souffert appeller a l'offrande avec eulx, ce eust semblé vilipendence de la justice du roy et que a tort eust fait condempner leur frere d'ordre et privé d'onneur, quant eulx le maintendroient non meffait, et d'autre costé, qui lui eust levé son tableau et non mis en son lieu, il eust semblé qu'on l'eust fait mort ou jugié non digne de la compaignie (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 281).

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