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"Entendez moy, beau chiers cousins, J'ay [moi, le conte Aimery] entendu par voz voisins Que d'enffans estez moult chargez. Bon est que vous en deschargez, Si vous requier que un m'en donnez Et il sera bien assignez, Car tellement l'assineray Qu'a tousjours riche le feray." (COUDRETTE, Mélus. R., c. 1400, 114). |
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