C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de e dans la Base des Partiels 

8 attestations 
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[1] ...sans aprisant beaucop de parens de notable condition, ne ancores lez amis trèsfervens, desquelx tous estiés constraint contre telle preponiment, et aussi contre l'oppinion et la volenté de tout homme, pour le grant zel d'amour spirituel qu'e-tes [qu']e-tes (Passage Terre Sainte Piloti D., 1441, 5).
[2] ...sans aprisant beaucop de parens de notable condition, ne ancores lez amis trèsfervens, desquelx tous estiés constraint contre telle preponiment, et aussi contre l'oppinion et la volenté de tout homme, pour le grant zel d'amour spirituel qu'e-tes [qu']e-tes (Passage Terre Sainte Piloti D., 1441, 5).
[3] Et la pres fault passer ung grant barc et caudiguaire. Et de la a Veronne, cité moult grande et belle e sy est fort riche et belles maisons, XV mille. (BARBATRE, Voy. T.-C. P., 1480, 95).
[4] Le palais est e[s]t tout couvert de pelon ... carneaux, bel, cler et net (BARBATRE, Voy. T.-C. P., 1480, 101).
[5] Item en Raguze y a une belle aurloge et sont deulx hommes d'armes qui sonnent les heures, et dessoubz le cadran y a une lune, laquelle se monstre monstr[e] plaine ou ainsi comme le cressant ou decours sont de la lune elle se monstre grande ou petite. (BARBATRE, Voy. T.-C. P., 1480, 116).
[6] ...et dient les aucuns que il se tua lui mesm[e] par desconfort (LE BOUVIER, Chron. Ch. VII C.C.J., c.1451-1455, 57).
[7] ...ceste ville de Cepte, que les roys de Portingal, depuis leur grant pere le roy Jehan, tiennent victorieusement alencontre de eulx et leur en font barbe et despit tous les jours. Et pour ceste cause le roy de Phez que je vous dy, a qui elle est d'heritaige comme en Affrique, y vint mettre le siege maintenant, cuidant le pooir recouvrer et traire hors des mains des teneurs par envaÿe et puissance de gens (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 76).
[8] ...les clameurs et les battures des mains et les tempestes des larmoreuses et desolees voix des hommes, des femmes et des enfans estoit la plus lamentable chose qui onquez avoit esté oÿe. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 95).

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