C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de donneroit dans la Base des Partiels 

10 attestations 
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[1] Les pucelles prindrent le pan et le mirent devant Meliadice, laquelle voua que cellui qui gaingneroit la jouxte, elle lui donneroit le chappel que elle avoit en sa teste. (Cleriadus Z., c.1440-1444, 442).
[2] Et tant nagerent qu'ilz vindrent au port Sarrasin. Et illecques dechargerent. Et quant ilz trouverent les XIIII baris, sy dirent au patron: "Que ferons nous des barilz du gentilhomme qui demeura en l'isle de Sagona, qui avoit bien payé son nole, et avoit dit qui les donneroit a ung hospital?" (Belle Maguel. C., 1453, 47).
[3] Et doncques, pour la belle apparence que véoit messire Jacques de Lalaing en son frère Philippe, il avoit du tout conclu en soy que, les guerres de Flandre achevées, pour la grande amour qu'il avoit à iceluy son frère, il luy donneroit tout tel droit et telle action qu'il luy pouvoit écheoir après le trespas du seigneur de Lalaing son père, c'est-à-sçavoir la seigneurie de Lalaing (Faits Lalaing K., c.1470, 254).
[4] Y aller [... Orléans] n'est pas peu de chose, S'i nous veullent faire le sourt, Y pourroit avoir du secour secour(s) Qui nous donneroit resistence. (Mist. Siège Orléans H., c.1480-1500, 126).
[5] ...Et si lesdictes parties n'avoient peu faire leurs enquestes, le juge leur donneroit de leur assentement tant de prefixions qu'ilz vouldroient. (Cout. instit. Anjou Maine B.-B., t.3, a.1458-1463, 38).
[6] Lequel Rousseau respondi audit supliant, en renyant Dieu par plusieurs foiz, que il aimeroit mieulx mourir cent mil foiz que de soy rendre aux vilains trippiers de Poictiers et de Fontenay, et que s'il estoit en la ville de Poictiers, il donneroit ung coup de dague ou de cousteau au vilain lieutenant trippier et bougeron (Doc. Poitou G., t.10, 1456-1464, 131).
[7] Oultre plus nostre dit cousin ung jour lui dist que si nous allions de vie à trespas il lui donneroit cinq ou six confiscacions de ceulx qui s'estoient meslez du fait de la mairerie d'Angiers, et lui dist qu'il ne les oubliast pas en son memoire et que selon le cours de nature, ilz ne lui povoient eschapper ni fouyr (Doc. Poitou G., t.12, 1475-1483, 133).
[8] \... quoy dist ledit Meingot qu'il lui donneroit deux blans pour en avoir une, lesquelz deux blans ledit Julien lui bailla, et les mist en son gan. (Ecorch. Ch. VII T., 1438-1451, 467).
[9] Ledit Charlot ler [aux brigands] dist derechief qu'il leur donneroit cent escuz (...) et les dessusdiz brigans luy disdrent qu'il se confessast (...) Et la ledit Charlot dist son Confiteor et son In manus, et a ycelle heure luy couperent le col, le bras et le petit doy de la main. A ycelle heure les dessusdiz brigans s'en allerent, et en emporterent son harnoys et toute sa despoille, et le laisserent comme tout mort (Mir. ste Cath. Fierbois C., 1470-1483, 119).
[10] Et au regart de ce que messire Michel de Partenay dit qu'il m'a ouvert un parti que le duc tinst en ressort de moy les hommages de ses eveschiez, c'est un expedient que je ne dois pour rien accepter, car le duc ne me donneroit riens par ce moien. (Lettres Louis XI, V.M., t.10, 1446-1483, 205).

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