C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de dis dans la Base des Partiels 

674 attestations 
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[1] Et ... mon entendement, lequel je ne dis point qu'il soit sçeur (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 25).
[2] Et celle mesme nuit, je descouvry et dis audit Messire Andrieu ma voulenté du chemin que je vouloye faire, lequel m'en eust voulentiers destourbé s'il ne le m'eust promis paravant et me mist au devant presque tous les dangiers qui me sont survenus en chemin (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 39).
[3] Je me passe de parler plus au long de la situation du pays depuis Vienne jusques icy pour ce que pluseurs sçavent bien quel il est et se je dis vray ou non. (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 261).
[4] ...yceulx roys ne pouoient menger du plaisir qu'ils prenoient ... ouir ces dis menestrés ; et aussi de voir ces hoquetons brodés, car il y en auoit bien chinquante et quatre fort chargés d'orfauerie (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 166).
[5] Je vous respons et dis que Mahommet est filz de perdition et mis et condampnez avec le diable son père, et non seulement Mahommet, mais aussi avec lui tous ceulx qui gardent sa maloite et fausse loy (JEAN LE LONG, Voy. Odoric C., 1351, 74).
[6] Ainsi que je m'en aloie portant ces reliques de ces freres martirs dessus dis, je fu hostellez en une maison et quant je alay dormir je mis ces reliques dessoubs mon chief (JEAN LE LONG, Voy. Odoric C., 1351, 82).
[7] \... sa maison, je estoie hostellé ; tous dis, il me nommoit Acha, c'est-...-dire père. (JEAN LE LONG, Voy. Odoric C., 1351, 302).
[8] ...touz ceulz qui l... furent assemblez en furent oultre mesure esmerveilliés de ce qu'il n'y eust si sachant d'eulx touz qui oncques sonnast most ne feist semblant de riens vouloir dire contre nous ne nos dis. (JEAN LE LONG, Voy. Bieul B., 1351, 324).
[9] et [comme] il soit ainsi que les dis religieux nous ayent supplié (...) que, pour occasion de ces choses, leurs drois, nobleces, privileges, prerogatives et anciennes libertez ne puissent estre deperiz ou aboliz (Chron. Mt-St-Mich. L., t.1, Pièces diverses, 1418-1432, 98).
[10] ses hostelz, manoirs et autres edifices qu'il avoit au plat pays lui ont esté et sont destruiz et desers par les dis ennemis (Chron. Mt-St-Mich. L., t.1, Pièces diverses, 1418-1432, 124).

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