C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de devent dans la Base des Partiels 

52 attestations 
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[1] ...toutes chouses, selon que dient les sages, se devent user par leurs saisons (LA CEPEDE, Paris Vienne K., 1432, 206).
[2] Et appartient aux filz dez honmes porter armes et saïttes ; et lez filz de Dieu, c'est assavoir lez ministres de l'Eglyse, devent offrir sacrifices, et pour le pueple Dieu prier devotement. (Songe verg. S., t.1, 1378, 4).
[3] Les choses temporeles devent deservir au choses espiritueles, conme lez mains dignes au plus dignes. (Songe verg. S., t.1, 1378, 30).
[4] ...saint Pol vous respont, qui dit que tout evesque si est pris et esleü es choses qui appartienent a Dieu, c'est assavoir es choses espiritueles, et en celles nous devent lez evesques gouverner ; et ne se doit mie l'Yglise entremettre dez choses qui sont foraines, ne de celles ne luy appartient a juger. (Songe verg. S., t.1, 1378, 32).
[5] Vous voïés, donques, que lez clers qui sont esleüs ou service de Dieu ne devent point de tribut, car Nostre Seigneur vout, adonques, que saint Pierre le poïat, pour l'esclandre echiver. (Songe verg. S., t.1, 1378, 42).
[6] Le Chevalier respont que lez clers qui vivent clergeaument et qui ensievent lez voies dez Apostres devent jouir dez privileges. (Songe verg. S., t.1, 1378, 43).
[7] ...je autroie que lez clers qui ne sont pas mariés et qui ne sont mie de vie et de conversacion laie, et ceulx qui ne sont pas tonsurés en fraude de Dieu et de Sainte Eglise, lez clers qui ensievent lez voies de Jhesuchrist, (...) touz teulx clers, (...) devent estre frans et joïr dez privilieges et libertés autroïés par lez Saintes Escriptures (Songe verg. S., t.1, 1378, 43).
[8] Mez, ja soit ce que lez clers devant diz soient en leurs persones exemptés, si devent ilz poïer lez cenz et aultres redevances de leur terres et possessions, car se l'Eglise achete une terre censive, ce n'est pas raison que le seigneur doie perdre son cens ne sa rente. (Songe verg. S., t.1, 1378, 43).
[9] Se nous disons donques que, aussi justement sont lez possessions de la chose publique tenues et obligees, pour le bien comun et la chose publique garantir et sauver, conme elle sont tenues et obligees a païer rentes et cens, et se passent telles possessions chargees de rentes et de censives a touz possesseurs, soient privilegiés ou non, par paraille raison, ou plus forte, devons nous dire que toutes possessions devent estre transportees avesques la charge que ilz devent a la chose publique (Songe verg. S., t.1, 1378, 44).
[10] Se nous disons donques que, aussi justement sont lez possessions de la chose publique tenues et obligees, pour le bien comun et la chose publique garantir et sauver, conme elle sont tenues et obligees a païer rentes et cens, et se passent telles possessions chargees de rentes et de censives a touz possesseurs, soient privilegiés ou non, par paraille raison, ou plus forte, devons nous dire que toutes possessions devent estre transportees avesques la charge que ilz devent a la chose publique (Songe verg. S., t.1, 1378, 44).

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