C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de decevoir dans la Base des Partiels 

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[1] et pour nous fraulder et decevoir et prendre doubles gaiges (Chron. Mt-St-Mich. L., t.1, Pièces diverses, 1418-1432, 137).
[2] Le Vin Et vella belle pillerie! Mais de quoy sont il servables? Ung tas de racontur de fables, Gastur de pavé par les villes, Disans chosses inestimables Pour decevoir femmes et filles. Le Pain Ung tas de dressurs d'escuelles. (Croix Faub. T.C., c.1450, 181).
[3] Yl n'emme que pour decevoir Et pour bareter, s'il povoyt. Par le sang Dieu, on le devroyt Bannir et mittrer conme infame Et conme cabuseur de dame (Lord. Tart Ab. L., c.1450-1465, 176).
[4] ...et lors fu determiné que le roy conduiroit la derniere, mais point ne se partiroit de la ville jusques ad ce que toutez lez bataillez de sez ennemis fussent assemblez en ung, adfin de lez decevoir et enclorre (Comte Artois S., c.1453-1467, 90).
[5] Diables, il vous fault enveïr Ceulx que Dieu fist a sa sanblance. Serpent, de la aler t'avence Sentir s'on les peult decevoir. (Pass. Semur D.M., c.1420 [1488], 15).
[6] Esgar, il remue la teste ! Pierres, vous mourez comme beste. Nous voulïez vous decevoir ? (Mart. st Pierre st Paul R., c.1430-1440, 126).
[7] Je suis Dieux qui ne faux fau(t)[x] ne ment, De paradis suis gouvernierres, Des sains, des saintes conduisierres. Je ne vous vueil pas decevoir (Jour Jug. R., c.1380-1400, 227).
[8] J'ay fait faire a mon devis Qu'il ont samblé estre revis Pour les crestïens decevoir (Jour Jug. R., c.1380-1400, 239).
[9] Et si que dit Tulles: Comme il n'affiere à homme mentir, decevoir, ne dire mal pour quelconques cause, ne doit doncques pour convoitise estre perdu nom de bon homme. Et de ses sermons tant horribles de quoy on use plus, je croy, en cestui royaume que nulle part ailleurs, reniemens, maugroyemens, et telles detestabletéz, si que devant est dit, souffrir à crestiens est faulte de foy et non crainte de Dieu. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 165).
[10] Apres il convient que l'en ne croie pas aucuns qui se appliquent a la multitude afin de la sophistiquer et decevoir par paroles. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 225).

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