| [1]
obstant ce que par l'ordonnance de la cour de nostre Eschequier lors seant il fut rendu a nostre amé et feal conseillier l'evesque de Bayeux, comme son juge competant et ordinaire (Chron. Mt-St-Mich. L., t.1, Pièces diverses, 1418-1432, 207). |
| [2]
comme icelui nostre conseillier] eust prins les champs et son chemin vers noz dis ennemis (Chron. Mt-St-Mich. L., t.2, Pièces diverses, 1432-1463, 91). |
| [3]
De laquelle somme de deux cens vingt et trois livres tournois vous avés voullu ou voullés faire rabaiz ... nostre dit conseillier (Chron. Mt-St-Mich. L., t.2, Pièces diverses, 1432-1463, 92). |
| [4]
Pour ce est il que nous, ces choses considerées (...) ... icelui nostre conseillier avons donné et octroyé (...) terme, respit et souffrance de nous baillier le dit denombrement ou adveu jusques ... un an prouchain (Chron. Mt-St-Mich. L., t.2, Pièces diverses, 1432-1463, 106). |
| [5]
...le duc y alloit le plein chemin en la bonne et leale foy, et ne pensoit encores aultrement fors que le daulphin se souffreroit conduire et conseillier, et finalement reduire a son pere (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 72). |
| [6]
Tien toy ainsi en toute adventure, non mie en apparence exteriore, et n'escrutine ja par oeul charnel les choses veües ou oÿes, mais tantost en chascune cause entre avec Moïse dedens le tabernacle pour toy conseillier a Dieu... (Internele consol. P., 1447, 182). |
| [7]
...puis que mon conseil m'avez demandé, et ossy que tout homme noble est tenu de conseillier les malconseilliez - je vous prie que atant vous cessez de vostre entreprise. (LEFèVRE (R.), Hist. Jason P., c.1460, 193). |
| [8]
Il [Le roy Claudin] avoit ung serviteur nommé Enguerran de Coucy, chevalier grant terrien, que monlt amoyt; son conseillier et chambellan estoit (Nouvelles inéd. L., p.1452, 1). |
| [9]
Plusieurs sont pour vous conseillier Plus suffisant et plus apris, Pour vous conduire et gouverner, Et plus duisant que je ne suis. (Mist. Siège Orléans H., c.1480-1500, 219). |
| [10]
...et ces choses sçay-je certainement par la relacion de mon pere, qui, comme philosophe, serviteur et conseillier du dit prince, fu à celle ditte collacion, en laquelle ot pluseurs altercacions et arguemens de la Sainte Escripture et des substances natureles (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V S. I, 1404, 96). |
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Attestation de 