C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de conseillers dans la Base des Partiels 

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[1] Après le duc vindrent les six vingtz conseillers de la ville, tous vestus richement, aulcuns de beau drap d'or, de veloux, de soye et d'escarlate et fourrez ... l'advenent de letices et aultres riches fourrures. (Voy. Hierus. S., 1480, 13).
[2] ... [Les conseillers au roi] (r)Sire, ja soit il que pressé soiez de respondre a laditte replique, toutevoies ne fait besoing encore de vous declairer tout fonsierement ne de vous ouvrir en vostre darreniere intention, car tout a temps y porriez venir quant vous voudrez ; ains vous duit mieulx faire responce suspensive en doubles parolles, sans donner ne tollir, affin de tenir monseigneur de Bourgoingne tous jours en doubte et en cremeur et non en deseure de sa cause.» (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 302).
[3] Ca, conseillers, allés tous deulx ! Et Braquart avec vous sera, Que le chemin vous droissera. (Myst. ste Agathe B., c.1451-1500, 193).
[4] Et les causes sunt premierement car si comme il fut dit ou XXVe. chapitre du tiers, les monarches funt aucuns leur coadjuteurs et ainsi les tirans ont leur collateralz conseillers qui ont la cure et la sollicitude du gouvernement et participent es emolumens de la tirannie. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 184).
[5] La grant montaigne, ardant de jour et du nuyt de l'isle de Vulcan et gouffre de Sathanie est prins en figure pour les tormens d'enfer, en laquelle les maistres, les patrons, les conseillers, les nauclers, les arbalestiers et maligniers de la nef francoise qui, gouvernant mal, perseverent en leurs pechiez, chacun en leur office a la fin de leur voyage seront arrestez ou dit feue et pardurablement dampnez. (MéZIèRES, Songe vieil pèl. C., t.1, c.1386-1389, 111).
[6] Par les coustumes passes il se puet dire et conjecturer que ou dit traictie de la paix les conseillers des deux parties en parolles seront moulte humbles, mais au baisser des lances ilz feront une grande lievee de bouclier, c'est assavoir grans choses demandant l'une partie et l'autre de raison et d'equite, nonpas offrant la moitie. (MéZIèRES, Songe vieil pèl. C., t.2, c.1386-1389, 375).
[7] ...lezquelx le[z]quelx conseillers n'en pourent onques avoir ne ryme ne rayson, ne aucune response convenable. (Songe verg. S., t.1, 1378, 283).
[8] non contrestant que les dites lettres soient adressans aus conseillers nagaires ordonnés sur le fait de nostre demaine (Lettre Ch. VI D., 1381, 176).
[9] Ce conseil pleut bien au conseillers ambaxadeurs du roy (LE BEL, Chron. V.D., t.1, 1352-1358, 124).
[10] ...le dit exposant nous eust esté tesmoingné par noz amez et feaulx conseillers (...) estre le meilleur ouvrier qu'ilz sceussent en nostre royaume pour le dit fait et, pour cause de ce qu'il ne prenoit ou avoit aucuns gaiges, considerans sa souffisance, eussions ordonné que il venist par deça afin qu'il eust gaiges tauxez et assignez (Clos galées Rouen M.-C., t.2, 1335-1415, 201).

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