| [1]
Pareillement est Jhesucrist, nostre peres, frere, advocat, conseiller, moienneur et rachapteur. (* *, 51). |
| [2]
Si vous ay ycy faitz venir (...) pour moy sur ce advertir et conseiller par quelle maniere je y devray besongner a mon grant honneur qu'il en soit memoire a tousjours maiz (Rambaux Frise S., c.1451-1475, 65). |
| [3]
Je regarde que oncques vous ne me feistes conseiller a nul saint homme de bonne vie, qui m'endoctrinast la loy de Jhesus, ne qui me mostrast la voye de salvation, et les choses celestials, que povent prouffiter a l'arme. (LA CEPEDE, Paris Vienne K., 1432, 138). |
| [4]
..."Va tost encontinent a l'evesque de Saint Vincent, et le salue de par moy et luy dy que je luy prye cherement qu'il veigne jusques ycy pour oyr ma filhe Vienne, que a luy se veult conseiller." (LA CEPEDE, Paris Vienne K., 1432, 139). |
| [5]
...mais à Diégo de Gusman ne souvint de l'ordonnance faite par les juges; car au premier son de trompette, après ce qu'il fut fini, tout à l'étourdi, il saillit hors de son pavillon; mais ceux qui l'avoient à conseiller, moult hastivement le prirent et le remenèrent en son pavillon; non obstant ce, au second coup de trompette il en fit pareillement autant (Faits Lalaing K., c.1470, 137). |
| [6]
Moy qui suis evesque d'Orleans, Me desplaist beaucoup de la chose, Que je voy qu'il est apparant Que nostre ville est toute close D'Englois, ainsi que je suppose, Et n'y povons remedier ; Par quoy bien conseiller vous ose Au Roy se doit signiffier. (Mist. Siège Orléans H., c.1480-1500, 356). |
| [7]
Messeigneurs, y fault adviser Que guerre n'est pas peu de chose ; C'est la fin ou y fault viser Et se conseiller sus la glose (Mist. Siège Orléans H., c.1480-1500, 626). |
| [8]
Il n'y a moyen que g'y saiche, Synon de fouÿr en enfer Moy conseiller a Lucifer Que provision soit trouvee. (Myst. Pass. Troyes B., a.1482, 330). |
| [9]
Mes se le tailleur est tel que il sache de la science et que il peut bien conseiller le mestre en ce, il le doit faire et lui monstrer aucune deffaute se il le apperçoit, afin que le maistre ne faille en son edifiement. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 124). |
| [10]
Si comme se le senat ou consulat ou parlement ou aucun tel college avoit erré. Et a conseiller de ces V. choses estoit appellé tout le peuple. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 194). |
|
Attestation de 