C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de conment dans la Base des Partiels 

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[1] Car tel [amant] y a que son fait n'ose dire, Et sy ne scet conment trayre confort. D'estudier mettra son effort En balader, ce sera son resort. Quant de son mal ne peult parler au mire, Cela ly peult donner aucun acort, Souvente fois, et solas et deport, Pour s'avencier d'amours sans en mesdire. (Jeu quatre pers. L., 15e s., 180).
[2] A mal gibet me puet om pandre Se je ne fiers, conment qu'il aille, Encontre eulx d'estoch et de taille, Sans ung tout seul pas desmarchier ! (Myst. st Adr. P., c.1450-1485, 20).
[3] ADRIANUS. (...) Savoir vueil conment les debvrons Assaillir, ne par quelle forme ? L'EMPEREUR. Par la voye la plus enorme C'on puest en guerre proceder, Sans deffier, ne sans mander Nostre venue au roy de Parthe (Myst. st Adr. P., c.1450-1485, 59).
[4] Sy luy feray, sans plus debatre, Em brief terme savoir conment Maintes hommes ocultement Ont delaissié la loy payenne Et tiennent la loy crestienne, Par mains lieux en Nichomedie (Myst. st Adr. P., c.1450-1485, 64).
[5] Et tantost conment ilz fut nez, Trois roys luy furent amesnez Des parties devers Oriant, Par une estoille radiant, Qui treshumblement l'adorerent Et de riches dons luy donnerent (Myst. st Adr. P., c.1450-1485, 93).
[6] Et aussi, entens bien et considere conment lez cornes et l'orgueil de tez anemis et de leurs aliés, quant tu vins au gouvernement du royaume, estoient juques au ciel elevés (Songe verg. S., t.1, 1378, 7).
[7] Reverent Clerc, sanz plus dire, vous savés conment ceste rayson a mette vous maine et contraint. (Songe verg. S., t.1, 1378, 22).
[8] ...quartement, conment lez roys de France guerissent touz malades, seulement par toucher, d'une maladie appellee lez escrouelles (Songe verg. S., t.1, 1378, 51).
[9] Conment, donques, osa onques aucun Impereur, ou temps passé ne au jour d'uy, atempter ne si folement ymaginer d'avoir aucune signorie ou souveraineté sur celuy qui est seigneur establi, en la temporalité, de Dieu le Pere, et sanz souverain, se ce n'est Dieu seulement ? Certes, c'est faire contre la Loy naturele et divine en laquelle il est dit que nul ne doit faire a aultruy for ce que il voudret que l'en luy fait (Songe verg. S., t.1, 1378, 51).
[10] Se il forme sa demande en petitoire, car il se dit seigneur, veons conment il a acquise ceste seignorie. (Songe verg. S., t.1, 1378, 53).

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