C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de comte dans la Base des Partiels 

65 attestations 
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[1] Ilz ne tiengnent d'empereur, roy, duc, ne comte, maiz sont tributaires comment on dit au Turcq jusquez a ce que leurs fossés et muraille soient achevés. (BARBATRE, Voy. T.-C. P., 1480, 115).
[2] L'an mil trois cens trois quatrevins et dix neuf, après la Toussains, fus en ma première armée, avecq monseigneur le comte Walleran de Saint-Pol, ... une descendue qu'il fist en Angleterre, en l'isle de Wit ; o- il y eut cincq cens chevalliers, que escuiers, cottes d'armes vestues. (LANNOY, Voy. amb. P.H., p.1450, 9).
[3] Edardo estoit enamourez d'une dame au comte de Brebant, Paris n'avoit oncques riens santi du fait d'amours (LA CEPEDE, Paris Vienne K., 1432, 76).
[4] Or dist le compte que durant le debat en France, (...) pour la beauté des troys dames, si advint ung jour que messire Johan, filz du comte de Flandres, et messire Johan, filz du roy de Boheme, se rencontrarent sur ung chemin, et l'un d'eulx maintenoit l'une des dames, et l'autre maintenoit l'autre. (LA CEPEDE, Paris Vienne K., 1432, 95).
[5] Et quant le comte de Flandres eust receu la responce, il envoya incontinant messagiers et lettres au duc de Bergoigne, s'il vouloit conscentir au mariage de son filh et de Vienne, filhe du dauphin. Le duc de Bergoigne fit responce qu'il estoit molt content du parenté. Et puys le firent ascavoir au roy de France, qui fut molt content du mariage et du parenté. (LA CEPEDE, Paris Vienne K., 1432, 205).
[6] ...si chevaucharent tant pour leurs journees qu'ilz vindrent arriver es contrees de Flandres, en la ville ont le comte de Flandres fasoit son manoir. (LA CEPEDE, Paris Vienne K., 1432, 206).
[7] ...et les bourgeois de ladite ville, cuidans résister et les débouter dehors, vinrent armés et embastonnés. Alors le comte d'Estampes et ceux de sa compagnie, moult vivement les reboutèrent, auquel reboutement Jacquet de Lalaing fit de moult belles appertises d'armes, tant de lances comme de l'espée (Faits Lalaing K., c.1470, 37).
[8] ...le comte de Clicq, capitaine de la place, (...) dedans briefs jours après la prise de ladite ville de Luxembourg, s'en issit hors par la muraille dudit chastel et s'en alla où bon luy sembla. (Faits Lalaing K., c.1470, 37).
[9] Durant ces devises, le comte du Maine et le comte de Saint-Pol se tirèrent à part et dirent l'un à l'autre: "Il convient que faisons aucune chose dont on sache à parler..." (Faits Lalaing K., c.1470, 40).
[10] Durant ces devises, le comte du Maine et le comte de Saint-Pol se tirèrent à part et dirent l'un à l'autre: "Il convient que faisons aucune chose dont on sache à parler..." (Faits Lalaing K., c.1470, 40).

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