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Une fois avint à une solempnité, comme il commandast à un clerc dyacre, lequel avoit moult melodieuse voix, qu'il se revestist et chantast l'Euvangille, cellui dyacre s'en excusa (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V S. I, 1404, 102). |
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De celle parole se hontoyèrent les chevaliers et dirent qu'il commandast, car ils estoient prests de obéïr. (CABARET D'ORV., Chron. Loys de Bourb. C., 1429, 15). |
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