C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de combatre dans la Base des Partiels 

115 attestations 
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[1] Et de l..., me mena veoir les waguesbonnes de mondit seigneur d'Austriche, lesquelles il avoit fait faire pour combatre les Behaignois (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 244).
[2] Adonc respondit Dendrac que par lui n'en auroit il point ; mais ... force et son oultrage, coment ilz auoient prins les autres prisoniers, le pourront ilz faire : car ilz ne s'en pensoient point ... combatre contre lui ne autres. (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 148).
[3] ...en maniere que la endroit les Franïois de dehors povoient combatre les Englois de dedans main a main. (LE BOUVIER, Chron. Ch. VII C.C.J., c.1451-1455, 345).
[4] La veissiés vaillanment combatre Franïois contre Englois de lances, de guisarmes, de haiches et de trait, et dura le chappleis par l'espace d'une grosse heure (LE BOUVIER, Chron. Ch. VII C.C.J., c.1451-1455, 390).
[5] Enforce moy de force celeste, que mon viel homme, ma meschant char qui n'est encore plainement subjete a l'esperit ne me surmonte en dominacion, contre laquelle, tant com l'en vit en ceste meschant vie, il conviendra combatre. (Internele consol. P., 1447, 126).
[6] Ie fay plusseur vilainnement Dieu et ses Sains malgrier; Feme faie fai[e] maldire et meller, Puis ensemble les faie fai[e] combatre, Li unc à droit, (et) à tort li autre (Sept péchés C., c.1300-1350 [p.1478], 231).
[7] ...quant le conte d'Artois fu descendu en son hostel et desarmé, il se trouva tout sain et haittié de son corpz, sans avoir quelque essomte [l. essoine ?] , par quoy il ne peuist a tous sez bons poins porter lez armez et combatre se besoing luy fust (Comte Artois S., c.1453-1467, 60).
[8] ...payens (...) [estoient] de courage tres aspre et hardis, sans monstrer qu'ilz eussent volenté de fuir mais en grans de combatre plus que devant (Comte Artois S., c.1453-1467, 76).
[9] Si ont envie leurs adversairez, quand ilz se voient ainsi reprimés par deux seulz chevaliers, eulx qui sont plus de .l., et tellement lez envahissent que par force de combatre leurz escus furrent detrenchiés et escartelés (Fille comte Pontieu B., c.1465-1468, 57).
[10] Puis entrarent en une aultre chambre, ont il avoit aubers, pieces de fer, heaumes, escutz et toutes manieres d'armeures esprovees pour combatre a oultrence. (LA CEPEDE, Paris Vienne K., 1432, 125).

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