C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de combatoient dans la Base des Partiels 

11 attestations 
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[1] ...finablement il rompy la presse plus grande et ala tout ochiant et craventant jusquez a ung costé ou sez gens se combatoient a puissance (Comte Artois S., c.1453-1467, 36).
[2] ...et endementiers que ilz se combatoient de grant volenté, mist paine le roy de Grenade de faire sez bataillez, en intencion de estre vengiez a ceste fois de toutez lez ennuyeusez pertez que lez Crestiens luy avoient fait (Comte Artois S., c.1453-1467, 91).
[3] ...et trop leur fu forte et dure ceste partie, car lez Crestiens ne furent adont que .XV. mille, de toutez gens qui se combatoient, contre plus de .XLVI. mil payens desirans leur mort plus que rien du monde (Comte Artois S., c.1453-1467, 93).
[4] .IJ. chevaliers, l'un appellé Pollinices et l'autre Thideus, se combatoient par nuit obscure soubz le portail de son palais ; et chalengioient le logis l'un a l'autre pour cause du fort temps et de la grosse pluye qui les ot toute nuit tourmentez (CHR. PIZ., Ep. Othea L., c.1400-1401, 217).
[5] Pluseurs se combatoient par moult grande enredie (Renaut Mont. B.N. V., c.1351-1400, 638).
[6] Graunt escarmuche ot sur la pais De Somme, je ne vous menk pas, Et fort combatoient chivaler. (HERAUT CHANDOS, Vie Prince Noir T., c.1385, 56).
[7] et aprés ceo reassemblerent tout ensemble et approcherent a la bataille de dauffin au pas d'une haiette; et la combatoient et gaignerent le pas de la haie, et la fuist disconfitz le dauffin ove la bataille de Normandie (HERAUT CHANDOS, Vie Prince Noir T., c.1385, 81).
[8] La veissez ferir Chaundos Qui cel jour y acquist grant los, Warrewik et le Despenser, Mountagu qui fuist a priser, Cils de Mawne et cil de Basset Qui bien combatoient a souet (HERAUT CHANDOS, Vie Prince Noir T., c.1385, 84).
[9] Car parmy ung pal de pieux ilz se combatoient de leurs glaives aux Angloiz qui trop hardiement se deffendoient (Chron. Valois L., c.1377-1397, 102).
[10] ...les ungtz chauffoient broches de fer, huilles, eaues ; les autres se combatoient et recueilloient le trait que les assaillans tiroient ; et y avoit de petitz enffans, comme dit est, lardés tout autour d'eulx de flèches et de viretons, et les apportoient sur les murs à grans bracées, sans ce que oncques enffans fust féru à sangc, qui doit bien estre réputé à grâce divine. Et estoient serviz lesdits assaillans de leur trait mesmes. (CHART. J., Chron. Ch. VII, V., t.1, c.1437-1464, 180).

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