C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de cil dans la Base des Partiels 

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[1] En ce temple souloient demourer les cheualiers que on appelloit Templiers ; et cil estoit le fondement de leur ordre. (MANDEVILLE, Voy. L., p.1360, 275).
[2] Et cil qui se doit occirre a vn coutel bien trenchant en sa main et coppe vne piece de sa char et la giete en la face de lydole en disant ses oroisons ; et le recommandent a ce dieu, et puis se fiert et plaie tant par deca et par dela, quil chiet mort. (MANDEVILLE, Voy. L., p.1360, 329).
[3] En ce pays nul ne peut dire, "Cest ma femme," ne nulle femme ne peut dire, "Cil est mon baron." (MANDEVILLE, Voy. L., p.1360, 330).
[4] Cil roy est moult droiturier selon sa loy et est moult bon iusticier, pour quoy on puet aler plus seurement par tout son pays et porter tout ce que on veult, que nul si hardy de personne nulle nose destourber ne desrober (MANDEVILLE, Voy. L., p.1360, 341).
[5] Et pour ce quant cil greigoys yssent de leurs villes pour semer leurs terres ou pour quelconquez aultres besoignes, chascun porte son chavestre : dont on le puist lyoer. (JEAN LE LONG, Voy. Bieul B., 1351, 277).
[6] ...tu es cil qui as le froit fait venir en ce paiz, quant tu l'as ainsi trahi par tes plices et tes draps oultrageux. (JEAN LE LONG, Voy. Bieul B., 1351, 279).
[7] ...tout cil qui la estoient enfuirent si esmary que il ny ot cellui qui sceust que dirent ne qui ... paynes sonnast mot. (JEAN LE LONG, Voy. Bieul B., 1351, 323).
[8] En cestuy mois de novembre, en Hongrie en la ville de Bellegarde, meut une question entre le conte de Cil, ung trespuissant barron du pays, et l'aisné filz d'icelluy treshault renommé capitaine sur les ennemis de la foy nommé le Blanc, aultrement Vayvaude. Et avoit a nom cely filz Lancelot, ung tresapre et vaillant seigneur non forlingnant a son pere, lequel estoit allé de vie a trespas, que dommaige fut car le roy et le pays perdirent leur champion de salut et de garant sur tous les aultres qui regnoient alors (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 82).
[9] ...le conte de Cil argué en son ceur, et contraire durement au Blanc trespassé (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 84).
[10] ...(r)Conte de Cil, je voy bien (...) que aussy a moy tu en veulz et contens a moy faire du peril...» (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 84).

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