C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de chere dans la Base des Partiels 

62 attestations 
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[1] Item plus mes bons amix j'ay deputé et ordenné mon beau oncle Arnaut de Caumont et mon ben amé escuier Galhardet de Tozeux pour avoir le regiment et estre residentement guoverneurs de ma tres chere et ma tres bien amee m'amye, de mes enfans et de vous autres et auxi de toute ma terre de Guascoigne, d'Agenois, de Pierregour et de Bazadés come ceulx esquells je me confize grandemant de leurs sens, loyauté, bonne discrecion et diligence pour vous regir et gouverner paisiblement et pasciffiquemant, en vous priant que a ce qu'il vous diront, demonstraront, conseilleront et aministraront, lez vueillés aryre et estre vrays, obeïssans et les secourre et aidier se mestier en ont, comme a nostre propre persone (CAUMONT, Voy. N., p.1420, 14).
[2] Vroy est que ceulx qui jamais ne nous avoient veulx ne congneux nous fasoient grant chere et nous offrirent de leurs biens et de leurs cases (BARBATRE, Voy. T.-C. P., 1480, 157).
[3] ...quant veistes les douz braz vostre chere et amee filtz si tyrez et si reddement estenduz, les queux douz braz vous soloient si doucement giser entour le cool, et celles beals douces mayns si rudement fichez par my tantqe en la dure croice de si grosses clous, qe si tendrez estoient et si blanches (HENRI LANC., Seyntz medicines A., 1354, 140).
[4] Tresredoutee chere Dame, apres l'envolupure de mes ordes et perillousez plaies mortels en voz doucez joies, les quels jeo face semblables a tresbeaux, blancs et nettz drapels pur mes plaies einz envoluper (HENRI LANC., Seyntz medicines A., 1354, 228).
[5] Mon amy, c'est la pourtracture, La propre semblance et figure De ma cordialle et chere amye. (ARCEL., Vieill. C., c.1480-1520, 605).
[6] LE VILLAIN [à qui on a peint le visage pour le rajeunir] Je vueil aller à chere lye Incontinent veoir ma femme. Je cuyde bien, par Nostre Dame, Qu'elle me congnoistra à grant peine; Je feray bien du capitaine. Ho, ma femme, et comme va? Suis je point tel qu'on me couva? Je croy que m'avés mescognu: Véez moy cy jeune devenuz. (ARCEL., Vieill. C., c.1480-1520, 607).
[7] Aussi la chandelle est trop chere: Je me couche de hault souleil. (Gaut. Mart. A., c.1480-1500, 164).
[8] CUIDER. (...) Prennez aujourd'uy une plume, Et demain deux qui acostument Ouquel est la peau eschauffee. Puis prennez en une riflee, A plain poin en pourrez tirer: Tant qu'il en pourra soupirer, Il ne vous en aymera que mieulx. PLAISANT FOLLIE. Dictes vous? CUIDER. Je parle des vieulx Qui sont malicieux et caux. Mais s'i vient de ces sotereaux Qui s'y boutent a chere baude, Plumés les moy sans eaue chaude, Tant qu'i n'y demeure plumete: En ce point veulx je qu'on les mecte. Et s'i pleurent de la pippee, Faictes leurs ung ris de pompee, Vous les voirrés jouer a l'eure. (Pipée R., c.1470-1480, 187).
[9] et leur [aux ambaxadeurs] fist on bonne chere. Touteffois n'estoit il pas deliberé de leur accorder ne octroyer ce qu'ilz demandoient. (Rambaux Frise S., c.1451-1475, 52).
[10] Et peu de temps aprés guerist, moyennant la bonne diligence qui fut faicte par Othon et sa femme. Et demeura environ ung an faisant bonne chere. (Rambaux Frise S., c.1451-1475, 79).

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