C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de chainture dans la Base des Partiels 

7 attestations 
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[1] Et illec aucuns crestiens de la chainture vinrent pour la lucrature, et nous aportoyent vivres. (LENGHERAND, Voy. G., 1486-1487, 113).
[2] L'autre generation des crestiens d'orient, c'estassavoir les Armins, les Gres, les crestiens de la Chainture, les Nothorins, les Jacopins, les Georgiens, les Maronins, les Captins, les Indiens, Nubiens et Ethyopiens, toutes ces generations de crestiens a grant dolour meurent en vivant soubz le treuage dez Sarrasins (MéZIèRES, Sustance H., 1396, 55).
[3] Nos chevaliers donques porteront une robe honneste de drap de simple couleur, large et longe, jusques a demy-jambe, et sera appelee la cote principale de la Chevalerie, sur laquelle il seront cains d'une chainture de soie ou de cuir vermel, large de II doys ou ducas. Et sera la blouque ronde et de corne noir et le mordant aussi de corne noire, et la garnison des traus ou partuis sera de lecton. Et toujours nos chevaliers porteront chaperons rouges, representans le sanc de Jhesu Crist. Et dessus ladite cote principale et le chaperon vermel il porteront un mantel honeste de drap blanc ou de sarge bien blanche (MéZIèRES, Sustance H., 1396, 85).
[4] ...Jehan s'en alla deshouser et devestir sa robe a chevaulchier, sy prist et endossa sa gente robe, chaussa ses sollers, chaingny la chainture et gipciere que la dame luy avoit donnee et sy gentement s'atourna que beau le faisoit regarder. (Jehan d'Avennes F., c.1465-1468, 25).
[5] Et certes il estoit en grant paine, et non pas seullement de porter le tres grant fais de soupirs quy de son cuer redondissoient, mais aussy pour baisier son deamant, sa chainture et sa gipeciere. (Jehan d'Avennes F., c.1465-1468, 30).
[6] La chainture qu'elle portoit estoit d'un tissu de laine, le boucle et le morgant estoit de cuivre ou de letton, par coy il apparoit assés que pas n'estoit de grant richesse. (Gérard de Nevers L., c.1451-1464, 38).
[7] ...une chainture pour chaindre par le faux du corps (Comptes Lille L., t.1, 1382-1482, 108).

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