C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de cha dans la Base des Partiels 

17 attestations 
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[1] En icelle église demourâmes toutte nuyt enclos, faisant noz voyages cha et la. (LENGHERAND, Voy. G., 1486-1487, 134).
[2] Vaul dyable! qu'esse? mostre cha! (Sept péchés C., c.1300-1350 [p.1478], 245).
[3] Nos trouons que quant Ihesucrist, Cha ius, alat par le paiis. Por prechier et endoctrineir Son peuple, qu'il voloit saueir, Ses disciple apres luy aloient, De simple drap vestis astoient, N'auoient mie drap royauls. A pies aloient chascun d'iceaus, Ne cheuauchoient nuls destrier, Ne n'astoient orguelheux ne fier; Souent les seruoit li plus sire. (Sept péchés C., c.1300-1350 [p.1478], 248).
[4] Et se disant il adressa la pointte de son espee contre son cuer et le mist en deux parties, et chaÿ mort emprés le corps de sa Dame. De laquelle inumerable pitié la chamberiere, quy vist tout le fait, fust moult esbaÿe (Chast. Vergier S., c.1450-1480, 108).
[5] Lors se tourne monseigneur Jehan vers son prisonnier et luy dist : "Or cha, sire chevalier, ce poise moy que la chose ainsy va, c'est a sçavoir que vous eustes oncques la male voulenté, mais toutesvoies madamoiselle m'a donné la cause a en faire ma voulenté, dont je l'en remercye. Or regardez se vous voulez accepter l'amendise ainsy comme je l'ay bastië. (Jehan d'Avennes F., c.1465-1468, 136).
[6] Non obstant ce, encores ay de provision .VI. pains et deux gasteaux, deux pertris et quatre plouviers et ung baril de vin ; cha dedans ne say plus nulz vivres. (Gérard de Nevers L., c.1451-1464, 38).
[7] Cha, nostre hoste, mettés de grant La nape, du vin et du pain. (Myst. st Bern. Menth. L., c.1450, 47).
[8] Seés vous de cha et de la Trestout, et ung vous servira De potage et de char salée, Et aussi de une charboniée, Tan que serés trestout bien aise. (Myst. st Bern. Menth. L., c.1450, 47).
[9] Vous avez raison. Elle s'est bien ung peu cessée J'en ai eu trop grant alenée. Or cha, que je voyse couchier (MARCADé, Myst. Pass. Arras R., a.1440, 63).
[10] Car il samble que la primiere primier[e] opynion veult dire et affermer que lez Impereurs qui ont esté aprés Charlemaingne Cha[r]lemaingne n'ont eu aucun dret ou royaume dez Ronmains, ne ez aultres terres aussi, qui estoient subjectes a Charlemaingne devant la translacion de l'Ampyre, se ce n'est en tant que ilz sont successeurs de Charlemaingne, non mie seulement conme Impereur, mez aussi en tant que il fu roy de France de son heritage (Songe verg. S., t.1, 1378, 145).

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