| [1]
Or men retourneray autresfois encore par autre chemin, ou en va le plus par terre, pour ceuls qui ne pueent souffrir le carroier de la mer et qui aiment mieulx a aler par terre le plus que il peuent, combien quil y ait plus de peine. (MANDEVILLE, Voy. L., p.1360, 298). |
| [2]
Et ceuls qui deussent pour nous bons exemples et nostre acceptable vie estre conuertis a nostre loy de Ihesu Crist, sont pour nos mauuaistiez et pour nos erreurs eslongiez et estrangiez du tout de la sainte vraie creance. (MANDEVILLE, Voy. L., p.1360, 307). |
| [3]
Dame, qui tousiour esteis pres à ceuls qui de bons cuer vos quirent, Tresbons louire en acquirent. (Sept péchés C., c.1300-1350 [p.1478], 230). |
| [4]
Mes aucuns ont la chose devant dicte encor plus a ceuls ou vers ceulz qu'il ont acoustumés que a autres, se il cuident souffrir injustement par eulz. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 300). |
| [5]
Et se femme a son terme perdut, sy fache fumigation de la poudre de celle pierre [de sayete] en ses partyes desoubz. Et ly fumiere de ly ayde a ceuls qui ont la caduch. (MANDEVILLE, Lap. M., c.1350-1390, 184). |
| [6]
Et fist le dit roy delivrer tous les prisonniers qui estoient es prisons de Paris, tant en la prison de l'eglise comme es prisons des seigneurs lays, neis ceuls qui estoient en oubliete, condampnez au pain et à l'yaue, furent delivrez. (Chron. Jean II Ch. V D., t.1, 1350-1364, 126). |
| [7]
ceuls qui par avant avoient moult arrogamment requis la delivrance des diz prisonniers ne oserent plus parler. (Chron. Jean II Ch. V D., t.1, 1350-1364, 223). |
| [8]
Et là alerent à luy le roy d'Angleterre ceuls du duchié de Bourgoigne, et firent pactiz avecques li (Chron. Jean II Ch. V D., t.1, 1350-1364, 254). |
| [9]
et aroient ceuls à qui il le refuseroit juste cause de querir autre seigneur souverain à qui il peussent et deussent ressortir. (Instruct. ambass. Ch. V D., 1368-1369, 137). |
| [10]
Item et ceuls, qui font ladite garde de nuit, doivent avoir chascune nuit I sextier de vin, I molle de busche, quatre quaiers et une poignée de chandelle et une torche (Chron. norm. 14e M., App., 1337-1345, 222). |
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Attestation de 