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...(r)Comment, Lancelot ! Fremmes tu les portes sur les talons du roy, et lesses ses gens dehors enmy les champs ? Que penses tu (...) ? Il sembleroit a ce veoir fere ainsi que tu eussez quelque malvaise intention, puisque tu ne seuffres entrer les gens et gardes du corps du roy qui sont la dehors, et que tu ayez quelque entreprinse sur main...» (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 84). |
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Meriadec (...) luy dist : (r)Messire Henry, comment l'entendez vous ? Il samble a vous veoir que vous ayez le ceur soubz l'ele et que vous en volez a qui que ce soit. Toutevoyez Monsieur vous a il donné congié de porter emprinse...» (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 133). |
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Pour Dieu, ayez lors souvenance De moy, vostre mere Esperance. Je l'ay tant dit que c'est redicte (RENé D'ANJOU, Cuer am. espris W., 1457, 56). |
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Encor y est sans aucun cy La tresdoulce plaisant Mercy, Que si long temps avez querue. Mais ains que l'ayez conquerue, Il vous faut combatre a Dangier Et a Reffus, ce lestrangier. (RENé D'ANJOU, Cuer am. espris W., 1457, 56). |
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Herculés oy voulentiers parler la royne et illec fist Jason chevalier a grant honneur. Et Jason, plain d'une bonne voulenté, ouvry sa bouche et dist a Herculés: "Tresnoble cremeu et heurex resplendissant! Il vous a pleu moy dedier a la religion de la noble ordre de chevalerie. Je vous en remercie et ceste dame dont ce bien me vient. Mais je vous prie ossi qu'il vous plaise moy assigner place la ou je puisse faire oeuvres chevalereuses, ad fin que vostre tamps n'ayez mal employé a moy honnourer..." (LEFèVRE (R.), Hist. Jason P., c.1460, 129). |
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.. "Tres redoubtee dame, vous sçavez que par pluseurs fois vostre serviteur le roy d'Esclavonnie vous a fait requerre par ses ambassadeurs que vous voeilliez estre sa femme, et que vous l'avez reffusé, pour quoy il a vostre royaulme assailly de guerre. Encoires, pour tousjours soy mettre en son devoir, m'a il envoyé requerre vostre desiree grace qu'elle ait pitié de vous et de vostre poeuple et que a celle journee vous ayez pitié de vostre leal amant, duquel la fortune est telle que certes il moeurt aprés vous..." (LEFèVRE (R.), Hist. Jason P., c.1460, 134). |
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"...Dont vous prie et supplie que pitié puist entrer en vostre cuer et que de moy ayez mercy." - "Jason," dist la dame, "il n'est cuer de dame si dur qui par vos requestes ne fust humilié. Vous m'avez lealment et bien servy, je le confesse. Vous me requerez que je soye vostre dame: plus grant chose ne me pouez demander..." (LEFèVRE (R.), Hist. Jason P., c.1460, 163). |
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".. [Le roi Eson à Jason:] mais a paine puis je croire que tu seul ayez vaincu le geant. S'ainsy estoit, les dieux en mercieroye! Au fort aler, passons oultre: Se ainsy est que tu ayes acquis la grace de celle tant belle dame, je ne m'enmerveille point, car Amours en ce cas ne regarde personne..." (LEFèVRE (R.), Hist. Jason P., c.1460, 165). |
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Adont Jason fist la reverence a Medee, puis dist: "Ma dame, j'ay fait tout ce que m'avez enseignié au plus prez que j'ay peu. (...) Commandés maintenant ce qu'il vous plaist que je face, et vous delivrés, car il est prez du jour." - "Mon amy," respondy Medee, "bien viengne le jour et tost ouquel vous acquerrés la plus grant gloire que jamais chevalier acquerra!" A ces paroles, elle prinst un vestement moult riche et lui presenta en disant: "Mon amy, vous estes pourveu de ce qu'il vous fault, mais que cest vestement ayez sus vos armes..." (LEFèVRE (R.), Hist. Jason P., c.1460, 204). |
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"...et ne chevauche pas fort que tost ne l'ayez aconceu." (Jehan de Paris W., c.1494-1495, 30). |
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Attestation de 