| [1]
...et ne laisse passer nul ladite rivyere s'il n'est homme de cognoissance ou qu'il aye lettre du Turc (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 206). |
| [2]
Et par tant je me delicte a vous en conter l'advenement, non par delectation que j'aye eue ou meschief, mais par affection que chascun y preigne miroer pour fuir telle oeuvre. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 253). |
| [3]
Car moult de maulz me surviengnent en ceste valee de misere, lesquelz me troublent souvent, me contristent et obscurcissent et trés souvent m'empeschent, me detraient, me oignent ou atraient et me impliquent affin que je n'aye franc accés a toy et que je ne goe des joieux embracemens qui toudis sont prests aux beneurés esperis. (Internele consol. P., 1447, 131). |
| [4]
J'ay bien desservy d'estre troublé et grevé. Il convient certes que je soustiengne. Je desire que ce soit paciaument jusques la tempeste soit passee et que j'aye mieulx. (Internele consol. P., 1447, 155). |
| [5]
Ne te cuide point estre du tout relenqui, jassoit ce que a tamps je t'aye envoié aucune tribulacion, ou aussi que je t'aye soustrait la consolacion que tu avoies goustée. Car ainsi trespasse l'en au regne des cieulx. (Internele consol. P., 1447, 159). |
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Ne te cuide point estre du tout relenqui, jassoit ce que a tamps je t'aye envoié aucune tribulacion, ou aussi que je t'aye soustrait la consolacion que tu avoies goustée. Car ainsi trespasse l'en au regne des cieulx. (Internele consol. P., 1447, 159). |
| [7]
Hé! pence tu q'ung lanterneur Ou ung trompeur aye Honneur Pour user de sa tromperie? Nany! om l'a par bonne vie. (Pouvre peuple H., c.1450-1492, 216). |
| [8]
Or, enplés doncque mom saichot Et que j'aye la boutellecte. (Vil. Jac. T.C., c.1450, 168). |
| [9]
«Sire, dist Euryant, oncques jour de ma vye le criesme ne commys. Se il est trouvé et seu a la verité que celle traÿson et murdre aye commys, j'abandonne mon corps pour en faire telle justice que par vous et voz barons sera advisé.» (Gérard de Nevers L., c.1451-1464, 121). |
| [10]
"...Maintenant vous me demandez ma fille, la plus sachant et la plus chiere chose que j'aye! Souffise vous en ce que vous avez, et ne m'en parlez jamais, si chier que vous avez vostre vie." (LEFèVRE (R.), Hist. Jason P., c.1460, 211). |
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Attestation de 