C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de ayant dans la Base des Partiels 

66 attestations 
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[1] ...et vinsmes disner en la ville de Padua o- l'on compte XVIII milles qui font six lieuwes ; laquelle est une fort grand ville ayant deux frummetez. (LENGHERAND, Voy. G., 1486-1487, 30).
[2] ...après IIII aultres trompettes ... fachon de sacqueboute, les deux d'argent et les deux aultres de letton, chascun ayant sa banière comme dessus. (LENGHERAND, Voy. G., 1486-1487, 45).
[3] Et en nostre chemin nous vinrent rencontrer aucuns Arrabes qui sont gens quasi tous nudz, ayant chascun la partisienne ou arcq et flesches ... la mode du pays (LENGHERAND, Voy. G., 1486-1487, 152).
[4] ...les Portingalois qui la [Ceuta] deffendent et tiennent n'ont pas la terre de leur nation au doz pour eulx retraire ou saulver quand vouldroient, mes, ayant la grant large mer entre eulx et Portingal, ont a leur front la terre des infidelles, leurs ennemis, pour les pooir venir visiter et courir sus par jour, par nuyt et a toutes heures, quand bon leur samble (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 76).
[5] ...cestuy duc d'Alenchon, qui avoit esté croissant et venant aveuc luy, tousjours ayant maintenu son party (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 123).
[6] Et eulx [deux chevaliers ayant fait armes] se firent compaignons et freres d'armes ensamble et s'entramerent depuis de bonne amour. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 171).
[7] ...le conte de Pontieu, (...) ayant fait aprester sa galee, voire et furnir de toute chose a luy et aux siens fieulz necessaires, ilz entrerent en mer, et fist bons gallios mettre a l'ouvrage, si bien qu'en pou de temps ilz se trouverent en la haulte mer qu'ilz trespasserrent saulvement (Fille comte Pontieu B., c.1465-1468, 99).
[8] La pucelle, sachant la nouvelle du partement de Gerart, en pur ung blyaut de soye, les cheveulx espars sur son corps, ayant ung chappelet de roses sur son chief, vint acourant devant la sale (Gérard de Nevers L., c.1451-1464, 115).
[9] Ja avés oÿ Melyatir, quy voelt dire et maintenir que celle damoyselle estrange a esté prise en fait prouvé, ayant la main sur le couttel dont la seur du duc a murdry. (Gérard de Nevers L., c.1451-1464, 120).
[10] Quant le jour fu venu, ayant chascun baillyé son pleyge, et les liches faittes et ordonnees, les parens et amys des partyes amenerent leurs champions devant le roy, affin de leurs pleigeryes estre delivre. (Gérard de Nevers L., c.1451-1464, 141).

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