C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de auoir dans la Base des Partiels 

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[1] Adonc mgr. de Bethencourt lui dit qu'il estoit fort ioieulx de l'auoir trouué, et lui demanda se il lui plaisoit de venir en sa compagnie, en contant au dit Gadiffer son entreprinse, et tant que ledit Gadiffer fut tout ioieulx de l'ouir parler, et de l'emprinse qui estoit faite par le dit Bethencourt. (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 4).
[2] Adonc led. sr de Bethencourt vint deuers le roy, et lui pria qu'il lui plust lui faire auoir vne nef et des gens pour secourir ceulx des illes : la quelle chose lui fit bailler, vne nef bien artillée, et en [en] celle nef y auoit bien IIIJxx homes de fait. (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 40).
[3] ...pour veoir s'il pourra trouuer aucun bon port et lieu qui se peult fortiffier et estre tenable quant temps et lieu sera, pour auoir l'entrée du pais, et pour le mestre en treu, s'il chiet appoint. (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 86).
[4] Adonc led. Gadiffer lui dist qu'il auoit esté vng grant espasse de temps en sa compagnie, l... o- il auoit eu de grant trauaulx, et que il lui feroit bien mal d'auoir pardu sa paine, et qu'il lui baillast vne ou deulx de ces isles, ... celle fin qui les omentast et mist en valeur pour lui et les siens (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 103).
[5] L... viennent tant de loups maryns que c'est merueilles, et pourroit on en auoir chacun an des piaulx et des gresses chinc C doubles d'or ou plus. (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 133).
[6] Mais come i'ay dit par cy deuant, il desiroit auoir ces lettres toutes faites, grossies et scellées. (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 136).
[7] Et ainsi sont maintes genz et grans seigneurs deceus, qui cuident auoir du balme et ce nest riens ; car les Sarrazins le sophistiquent pour deceuoir les Crestiens (MANDEVILLE, Voy. L., p.1360, 255).
[8] Et ainsi viennent de bien loing pour auoir iugement des causes doutables. (MANDEVILLE, Voy. L., p.1360, 327).
[9] Entre nos, pasteurs et bergier, Veyus auons cils enfanchon (;) De fain auoir poure lysson (Jeu nat. C., c.1480-1500, 174).
[10] Tres doulce seur, que vous asteis aiwereuse D'auoir ung sy beaul fils et sy amoreux! (Jeu nat. suite C., c.1480-1500, 197).

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