C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de assemblees dans la Base des Partiels 

18 attestations 
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[1] ...partout ou je saroye a veoir les haultes assemblees et besoingnes d'icellui royaulme (LE BOUVIER, Chron. Ch. VII C.C.J., c.1451-1455, 3).
[2] Avec ce, femmes qui se veulent garder de blasme se doivent garder d'aler en compaignies qui ne soient bonnes et honnestes, ne en assemblees faictes en jardins ne en aultres lieux par prelaz ou par seigneurs ou aultres, faictes soubs quelque ombre ou couverture de festier gens, et que ce soit pour autre machinacion de quelque broillerie ou pour elles ou pour aultres. (CHR. PIZ., Trois vertus W.H., c.1405, 181).
[3] ...et Dieux scet les autres superflues despens de festes, de baigneries, de disners et d'assemblees, selon les usages de Paris a accouchees, les unes plus les autres moins, qui la furent faictes en celle gesine. (CHR. PIZ., Trois vertus W.H., c.1405, 185).
[4] ...se a festes sont, a dances ou assemblees, la doivent bien estre sur leur garde, et que bien soient enmanierees, pour ce que plus de gens ont les yeulx sur elles (CHR. PIZ., Trois vertus W.H., c.1405, 195).
[5] Helas, et on ne depose mie maintenant ceulx qui es eglises ne font pas tant seulement leurs assemblees et parlemens, mais en font ordes estables a chevaulx. (CHR. PIZ., Corps policie L., 1406-1407, 21).
[6] Mais l'orgueil de ces habiz dessusdiz fait un autre oultrage, certes moult desplaisant a Dieu a qui y vise, c'est le harnois que, assez en y a font, quant sont aux compaignies, aux nopces ou aultres assemblees de femmes, d'aler l'une devant l'aultre. (CHR. PIZ., Trois vertus W.H., c.1405, 160).
[7] Et ceste chose signifie Homerus en son livre la ou il dit que quant Agamenon ouit mal, ce est a dire quant il ne vouloit oir ne acomplir la volenté du peuple, il estoit deprivé es congregations et assemblees (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 146).
[8] Il me semble qu'en la premiere espece il sunt touz equalz fors que par aventure pour faire les assemblees et pour rendre les deliberacions, il eslisent les uns et puis apres les autres, de tous indifferentement. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 173).
[9] Et pour ce, aucuns qui scevent les lays sunt deputés a garder la jurisdicion, et tous sunt appellés as assemblees, qui sunt tres neccessaires. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 176).
[10] Car pource que tel peuple ne a pas mout de substance ou de richeces, il ne est pas vacant ne oiseux, et pour ce, il ne fait pas souvent assemblees. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 261).

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