| [1]
...toutes magnieres d'artillerie comme bonbardes, canons, coullevringues, her balesters, ars, tret, lances, vouges, picques, hallebardes, et grandes espeez, hernoys, brigandines et toutes magnieres d'abillemens de guerre, cordies (BARBATRE, Voy. T.-C. P., 1480, 108). |
| [2]
...ils scevent tout communaulment l'art d'ingremance, et sont touz leurs ars faiz par art de diable. (JEAN LE LONG, Voy. Bieul B., 1351, 286). |
| [3]
Ilz prindrent le herault et jugierent qu'il seroit ars, et firent faire l'estaiche pour l'ardoir (LE BOUVIER, Chron. Ch. VII C.C.J., c.1451-1455, 134). |
| [4]
Une foiz il advint que il lui sembloit que une espere, c'est a dire une roe toute ronde, de fin or, lui fut monstree en vision mont [sic] belle et monlt [sic] grande, estoffee et garnie de belles pierres precieuses, en laquelle estoient et habitoient tous les maistres et les docteurs des sept sciences que on appelle les sept ars (Horloge de sapience S., c.1389, 116). |
| [5]
Ainsi qu'il l'a dit, ilz le font; Les paiens sont amoncelez, Le feu fait bouter de tous lez; La sont paiens bruÿs et ars. Ainsi se voult venger des gars, Car le roy de Traquo pour voir Si avoit fait son frere ardoir. (COUDRETTE, Mélus. R., c. 1400, 192). |
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...Gieffroy A ars les moynes par desray, Saches que c'est puniction Prinse sur la religion De par Dieu, pource qu'ilz faisoient Moult de choses qu'ilz ne devoyent Ne de droit ne de raison faire; S'en a Dieu monstré l'exemplaire. (COUDRETTE, Mélus. R., c. 1400, 241). |
| [7]
Par le corps bieu, elle n'avoit garde De moy tirer a sa cordelle. J'ameroye mieulx que le corps d'elle Fut ars tout vifs soubz ung gibet. (Pouvre peuple H., c.1450-1492, 211). |
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Alors de tous costés approcherent Gerart en lanchant dars empennés. Aux ars et arbalestres encommencherent de traire. (Gérard de Nevers L., c.1451-1464, 60). |
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Puis apres, faictes porter pierres De fais, tantoust sus la muraille, Broches ardant a grosses quarres Pour percer jalerant a maille, Maillez de plon, autre ferraille, Aussi ars, piques et raillons, Jusarmes, hallebardes de taille, Vouges et grant gran(z)[t] bec de faucons, Salades et grans bassinez, Oveq arbalestes de passe, Lances et fers bien affinez, Qu'i ne soit riens qu'on ne trespasse. (Mist. Siège Orléans H., c.1480-1500, 550). |
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Il ont lances, vouges, pavast, Et sont une grosse puissance Garniz d'arbalestes et ars, Et viennent droit ci sans doubtance. (Mist. Siège Orléans H., c.1480-1500, 593). |
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Attestation de 