C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de arez dans la Base des Partiels 

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[1] Et le dit Anglois lui respondy (...) et dist ces motz en substance: " Truch vilain, vous ne l'arez point, et l'emmeneray malgré vostre visage. " (Chron. Mt-St-Mich. L., t.1, Pièces diverses, 1418-1432, 239).
[2] Et quant voz lettres vous arez, D'ilecques vous departirez. (COUDRETTE, Mélus. R., c. 1400, 131).
[3] "...Amis, or ne vous doubtez point, Car se le convenant tenez, Vous serez le mieulx fortunez Qui onc en vo lignage feust, Quelque fortune qu'il eüst. Et se vous faites le contraire, Vous en arez grantment a fere, Paines, ennuiz, adversitez, Et en serez desheritez Du mieulx de vostre tenement; Il est ainsi certainement." (COUDRETTE, Mélus. R., c. 1400, 149).
[4] Foy que doy l'arme de me taye, Belle dame, et vous le direz Tout prestement, ou vous arez De la sause de ce bourdon. (Mandel. T., c.1450-1475, 186).
[5] A, vous voirrés que c'est: Il ne vous en fault plus enquerir. Tout fin pres vous la voyz querir, Et puis vous en arez le regard. (Pipée R., c.1470-1480, 175).
[6] PLAISANT FOLLIE. La dame seroit bien heurée Qui auroit ung si bel amy! JAUNE BEC. Chacun ne fine point de my A sa voullenté, ne vous chaille. Mais non obstant, vaille que vaille, Si m'arez vous si vous voulez. (Pipée R., c.1470-1480, 193).
[7] «...et de mon costé feray tant adont, a l'aide de Dieu ou j'ay ma creance, que vous arez bon compte de voz ennemis et plaine victoire». (Comte Artois S., c.1453-1467, 39).
[8] Dont ce seigneur de Mortemer, voiant que le chevalier en vouloit premiers a luy, s'escria : "Haa, sire, pour Dieu, deportez moy de la jouste, car certes je n'en veul pas avoir a vous". Dist le chevalier : "Par ma foy, vous arez le cop. Me cuidiés vous jouer du regnard ? Certes, vous n'estes pas assez rougë. (Jehan d'Avennes F., c.1465-1468, 98).
[9] ...«O mon tres chier seigneur, delaissiés vostre doel et me voelliés dire la cause de vostre doleance, car tant vous voy pale et amorty que jamais joye n'aray au ceur jusques ae ce que le m'arez dit.» (Gérard de Nevers L., c.1451-1464, 91).
[10] Lors dit le duc: "Malbruny, bien vous estes acquité, mieulx que se aultre chose eussiez fait. Vous en arez ce fermeillet." (Nouvelles inéd. L., p.1452, 37).

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