C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de an dans la Base des Partiels 

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[1] Elle a esté arse et destruicte comme ou dist par le Tamburlant environ l'an mil CCCC, car encores y voit on les enseignes (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 35).
[2] Si a de la vaisselle, mais quant il vouldra clorre la main qu'il ne donne riens, en ung an, il pourra espargnier ung million de ducatz (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 186).
[3] L'an mil CCCC et quatre, le ieudi XXVe iour de feburier, deuant caresme prenant, le roy de l'ille Lancelot, payan, requist mgr. de Bethencourt que il fut baptisé, lequel fut batizé lui et tout son menage le premier iour de quaresme (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 74).
[4] L... viennent tant de loups maryns que c'est merueilles, et pourroit on en auoir chacun an des piaulx et des gresses chinc C doubles d'or ou plus. (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 133).
[5] Et ainsi demoura serré par aulcun an, jusques ... tant que le roy d'Asia s'en alla en pellegrinage, et par subornement de ducas il fust overt. (Passage Terre Sainte Piloti D., 1441, 175).
[6] Environ l'an .MCCCC. et .VIIJ. une nave de Cathalains chargia au port d'Alexandrie marchandise de une trèsgrant valeur, et aussi beaucop de marchans sarrasins et de Barbarie, lesquelx Sarrasins estoyent seigneurs dezdictes marchandises (Passage Terre Sainte Piloti D., 1441, 229).
[7] Li sires de la cité en reçoit bien chascun an L tumans de balisses dont une balisse vault un florin et demi (JEAN LE LONG, Voy. Odoric C., 1351, 358).
[8] Certes le devant dit Frere Odoric aprés ce si trespassa de cest siecle en Nostre Seigneur el couvent de Venise, l'an de Nostre Seigneur mil .CCCXXXJ. le .XIIIJe. jour de jenvier ; qui aprés ce est ennobli de moult de grans miracles. (VIGNAY, Merv. Terre Outr. T., c.1331-1333, 86).
[9] Item : du biscuyt ; c'est pain recuyt qu'on garde sans empirer et est si fort cuyt qu'il est aussy dur du troisieme jour qu'il est au bout d'ung an. (Voy. Hierus. S., 1480, 25).
[10] Pareillement le jeudy absolu ils consacrent toutes les hosties que le long de l'an faict mestier pour a communier les malades (Pèler. D., 1486, 360).

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