| [1]
Nous quil tenons l'ampire sur tous signoriant D'acquillon, de midi, d'occidant, d'orien, Avons tant pourchassé que il n'est nulle guarre. (Pass. Semur D.M., c.1420 [1488], 59). |
| [2]
Faictes nous tost venir, et sans point deslaier, Une nostre sujecte c'on dist qu'elle divine. Par quanque nous tenons de la loy sarazine, Nous voulons savoir d'elle ce jamés naistra homme Quil soit signorïant sur l'ampire de Rome. (Pass. Semur D.M., c.1420 [1488], 79). |
| [3]
Car garroier voulons l'ampire Et les faulx Romains d'Ytalie, Qui, par leur faulce tirannie, Nous ont pourter sy grant dommaige. (Myst. st Adr. P., c.1450-1485, 14). |
| [4]
...«l'Ampire et prestrise procedent tout d'une fontaine, c'est assavoir de Dieu» (Songe verg. S., t.1, 1378, 47). |
| [5]
Mez aprés, quant la seignorie de l'Impereur fust en tres grande sediction, amaindrie et en division, par especial ou temps que le siege de l'Ampire de Ronme vaca par lonc temps, il [les papes] reconmencerent a dire que ceste puissance et prerogative il avoient de Droit devin. (Songe verg. S., t.1, 1378, 95). |
| [6]
Certes, il semble que le Saint Pere ait la seignorie sur toutes lez terres de l'Empyre, et aussi sur tous aultres royaumes, par le texte du decret qui dist que Nostre Seigneur fist saint Pierre son classelier de l'Ampire celeste et de l'Ampyre terrestre. (Songe verg. S., t.1, 1378, 163). |
| [7]
Quant l'ampire out tenu doux anz paisiblement, Morz fut venanz de Romme d'un anpoisenement Q'uns Juïs li dona (Gir. Ross. H., c.1334, 114). |
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Attestation de 