Attestation dans les corpus textuels   Attestation de aiens dans la Base des Partiels  6 attestations   Page 1/1  [1] Pour quoy nous devons savoir que ce voieu qui est appellé e peut varier son son ou estre prononcié en .IIJ. manieres, combien que nous ne aiens que une seule figure ou une seule lettre qui nous presente toutes ces .IIJ. manieres. (EVR. CONTY, Harm. sphères H., c.1400, 76). [2] ...comme nous aiens bailliet en mandement à notre dit bailli que les diz souspeconnéz soient eslargi jusques au dit jour de l'Assencion, nous avons acordé et accordons aus dis maieur et eschevins que la dicte dilacion et cours de temps jusques à la dicte Ascencion et ensement le dit eslargissement, qui par notre dit bailli se fera des dis souspeconnéz, ne portent aucun preiudice (Hist. dr. munic. E., t.3, 1330-1500, 409). [3] ...que aucuns de noz successeurs, ou aiens cause de nous, peust, apres nostre deces, arguer contre monseigneur de Flandres fait de possession, ne la coustume par laquelle li mors saisist le vif ; et quant ad ce, nous les prenons et fourcloions (Trés. Reth. S.L., t.2, 1330-1415, 196). [4] ...aiens mout à cuer et vueillans pourveoir diligenment que aus religieus et aus eglises de nostre royaume, à leur famille et à leurs biens soit pourveu de seurté de sauve protection. (Doc. Poitou G., t.1, 1330-1333, 431). [5] ...tous les detenteurs, occuppeurs et possesseurs d'iceulz, non obstans quelsconques dons, que nous ou noz lieus tenans et officiers dessus diz, ou autres, leur en aiens fais, pour quelconque cause et en quelque maniere que ce soit (Doc. Poitou G., t.4, 1369-1376, 213). [6] ...nous mandasmes par nos autres lettres a la ville de Tournay (...) et a pluseurs autres du pays de Picardie que il envoiassent aucuns de euls a Amiens au jour de pasques derr. passé par devant nostre tres chier et amé filz le duc de Normendie et de Guienne (...) et leur fist nostre dit filz dire et requerre de par nous en sa presence comme nous le aiens envoié ou pays par dela pour approchier noz anemis especialment pour lever le siege qui est devant Calais (PHIL. VI VALOIS, Lettres closes C., 1330-1349, 123). Fermer la fenêtre