C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de aiant dans la Base des Partiels 

36 attestations 
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[1] Et oultre plus fort incontinent une aultre triumphe comme une fierte a IIII hommes. Dessus ung marmouset et dessus ung ange en l'air aiant seulement sa main senestre sur la teste du marmouset, et sur sa main dextre tenoit ung moult bel enfant nu tenant en sa main une et faisoit la bénédiction. (BARBATRE, Voy. T.-C. P., 1480, 107).
[2] les prevosts des marchans, eschevins, bourgois et gens de mestier, manans et habitans de la ville de Paris, chascun estat aiant baniere ... lui assenant et appartenant (* *, 103).
[3] ...ledit nostre Saint Pere, aiant grant ceur a la journee que avoit establie a Mantue, tousjours sollicitoit d'icelle et affectoit fort que fruit en peust venir a la crestienté par l'assistence que les princes lui donroient. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 233).
[4] Au pié d'une tour sont ycy deux homes, l'ung aiant le visaige enflé et l'autre une gibesiere, qui minent au pié d'une tour et hotent la pierre quarree accouplant deux murs, qui signifie paix, pour faire cheoir l'edifice. (Déclar. Hyst. S., a.1449, 158).
[5] Ceste est la raison naturele infuse tout a l'environ de grant obscurté, aiant encore ung peu de distance de bien et de mal, de vrai et de faulz, jassoice qu'elle soit impotent de remplir ce qu'elle assamble et qu'elle ne goe mie ja de plaine lumiere de verité, ne de santé de ses affections. (Internele consol. P., 1447, 244).
[6] ...la dame souventesfois regarda Jehan d'Avennes, pensant en soy mesmes s'elle l'avoit jamais veu, ce que non, et grandement s'esmerveilla de veoir ung sy beau jenne homme adoublé de robe deschiree, de chaperon souillié et ordoié, et aiant la face mascuree, les mains noires, les ongles longs et agus, les sorlez plains de boe, les chausses mal estendues a maniere de qualvier et, non obstant sa belle corpulence, defaillans de tous honnestes atournemens appartenans aux nobles. (Jehan d'Avennes F., c.1465-1468, 15).
[7] La dame doncques ja aiant longuement remoustré au jenne filz qu'il faisoit mal de sivir les villains, ycelle de rechief pour mieulx desrachinner son cuer des pensemens impourfitables qu'il avoit aux innobles, elle, quy mieulx eust amé mourir que penser sy non a attraire Jehan en vie honnourable, luy commenca a rire couvertement et luy prist a dire... (Jehan d'Avennes F., c.1465-1468, 19).
[8] Aprez la mort desquelz leur filz, aiant ja passé partie de ses pleurs, releva ses terres et luy firent hommaige ceulx de Pontyeu comme a leur seigneur (Jehan d'Avennes F., c.1465-1468, 193).
[9] Si s'en va cestui duc prendre .IIIJ. de sez plus fors chevaliers et luy, aiant esmeu le courage et attainnié en ce qu'il dist qu'il se vengera celle fois de Thibauld, il et sez .IIIJ. chevaliers le viennent environner, et primez luy tuent son cheval (Fille comte Pontieu B., c.1465-1468, 60).
[10] Uache sauuage selon Aristote et Auicenne est trouuee en la terre de Perse aiant crins eu col ne plus ne mains que vng cheual et habite es montaingnes et n'a nulles cornes, et quant les chiens la parsiuent elle fiente et gecte son ordure sus les chiens si que elle les art et brulle et leur a nature donné celle deffence pour ce qu'ilz sont priuees de toutes aultres neantmoins il y a aucunes de ces vaches sauuages qui ont cornes mais ilz sont petites reuersés et couchees vers leurs dos. (Best. hérald. H.E., c.1435-1450, 474).

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