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Et, accomplie son oroison, a toute sa divine compaignie, elle entra ou consistoire apostolique, ouquel la langue des advocaz fait maint preudomme de hault venir au bas. Quel merveille ! car leur langue tresfort clique. (MéZIèRES, Songe vieil pèl. C., t.1, c.1386-1389, 305). |
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S'ensuit la sentence dicte et prononcée par escript aux dessusdiz hostagers et commis dudit pays de Liège, selon l'ordonnance des ducs de Bourgongne et de Holande, laquelle ilz veulent que selon la déclairation d'icelle, elle soit de tout fermée et accomplie sans quelque faulte ou interdict (MONSTRELET, Chron. D.-A., t.1, c.1425-1440, 374). |
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\à l'entrée de cest an mil CCCC quarante six, furent faictes armes en la ville d'Arras, present le duc de Bourgoingne, juge en ceste partie ; c'est assavoir du seigneur de Ternant, qui estoit appelant et promoteur d'icelles armes, à l'encontre d'ung escuier natif des marches de Piémont, nommé Galiot de Baltazin. Sy estoient les devises telles : que ung chascun d'eulx devoit assir l'ung sur l'autre cinq coups de poux de lanche tout à piet ; et icelle accomplie, devoient combattre et asseoir comme dessus, jusques à unze coups d'espée, d'estoc ; et apprez ce, de rechief devoient combattre de haches, et en ferir chascun XV coups de la teste et martel, sans rien touchier de la poincte ne d'estoc ; et tout à piet, comme dit est dessus. Et apprez, devoient faire armes à cheval d'abondant, de lanches et d'espées l'ung contre l'autre, c'est à assavoir chascun d'une seule lance, fust assize ou non, et ce fait, ferir jusques à XXXI coups d'espée l'un sur l'autre, d'estoc ou de taille, comme bon leur sembleroit. (ESCOUCHY, Chron. B., t.1, c.1461-1472, 91). |
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...William Lescrope W[illiam] L[escrope], nostre souz Chamberleyn (...) ad bien et sagement fet son message, par manere que toute sa credence est pleinement accomplie selonc nostre desir, forsque de l'avantage de la masse de jour du paiement, et q'il desire ent avoir obligacion (Lettres agn. L., 1369-1412, 184). |
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Attestation de 