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Apren, povre, a obtemperer ; apren toy a humilier, terre et limon, et t'abaisse soubz les piés des autres. Apren a rompre tes voulentez et a toy donner a subgection. (Internele consol. P., 1447, 107). |
| [2]
Il appelle le portier qui tantost descendit et abaisse le pont et oeuvre la porte et Cleriadus entre dedens et le portier referme tout, qui cuidoit certainement que Cleriadus venist de chasser aucune aventure. (Cleriadus Z., c.1440-1444, 211). |
| [3]
Levés vous, dame, et escoutés. Savés vous pour quoy l'on vous mande ? Nous vous faisons telle demande : Tout le monde nous tient a sire, Cy vous prions vuillés nous dire Ce jamés sera homme naisse Quil nostre puissance abaisse. Dictes le nous sans fable espondre. (Pass. Semur D.M., c.1420 [1488], 80). |
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Mais le patron n'en feit conte ne autre mencion, et le raffle efforca. Dont il advint soudainement que pour l'outrecuidance du comistre de la galee pour moustrer qu'il estoit hardy marinier, et par grant orgueil du patron qui ne daigna commander que le voisle fust abaisse, un [un] raffle a cop seurvint si fort que la galee ne le pot soustenir (MéZIèRES, Songe vieil pèl. C., t.1, c.1386-1389, 581). |
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Fedris point le destrier qui couroit de randon, Et abaisse le lance, s'accolla le blason (Hugues Capet L., c.1358, 49). |
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Il abaisse une lanche qui le fer ot fourby Et broche le destrier de l'esporon voulty (Renaut Mont. B.N. V., c.1351-1400, 620). |
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Quant Agrevain l'oÿ, s'abaisse le menton ; Couvoittize le fist avoir opinion D'entendre la parolle dou traïttre felon, Et puis y tent l'oreille, lui vint temptation De mauvaise volente par infourmation. (Flor. Rome W., c.1330-1400, 188). |
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Attestation de 