| [1] | Cestuy fu singuliere exemple des eureuses yssuez de perverse fortune, luy qui n'avoit du demourant de sa fortune que la seulle vie ou danger de servage et peril de mort. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 139) | | [2] | Et se on disoit que en chosez yssuez de la couronne filles succedent, et leur a l'en permis succeder, qui sembleroit estre contre la Loy sallicque et desroguer a ycelle, on peult respondre qu'en aulcunes choses qui ne sont [point] parties de couronne,comme es parries de France, filles peuent succeder, et que anciennement elles n'estoyent point de la couronne, c'est asçavoir du demaine, et y avoit seigneurs qui les tenoyent en parrie, ressort et souvraineté du roy et de sa court de Parlement et doivent hommage lige; (JUV. URS., T. crest., c.1446, 26) |
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Attestation de 