C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de ycelli dans 7FMR 
15 attestations 
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[1] Tous lesquieulx dirent et furent d'oppinion que, veue ladite confession, ycelli Pierre, qui avoit commiscrime de lese-magesté, feust decapitez et puis pendu. (Reg. crim. Chât., I, 1389-1392, 474)
[2] ITEM, ou temps dont l'article de dessus fait mencion, et en la nuit, ycelli Berthaut se bouta en l'ostel de Jehan Bertram, près de ladite chappelle de la Roe, ferma l'uis sur lui au corail, et tantost la femme dudit Bertram, cuidant que ce feust son mary, elle hucha icellui Bertram, lequel ne respondi neant; (Reg. crim. Chât., I, 1389-1392, 502)
[3] Item, cognut que, au temps que feu mons. d'Anjouestoit en la compaignie du roy en la ville de Compiengne, et paravant ce qu'il alast ou voyage d'Ytalie, estant ou service dudit Thomas Brouart en icelle ville, et logiez, lui et un escuïer d'escuierie dudit seigneur, tout en une hostelerie et une chambre, et que plusieurs fois il ot veu que ledit escuïer portoit une sainture couvertes de pelles semez, à boucle et mordant d'argent, et quant il ne la portoit, il mettoit icelle en sa male, saichant ycelli escuïer estre alez devers ledit mons. d'Anjou, et regardant que en icelle chambre n'avoit que lui seul, tempté de l'ennemi, et veant que icelle male estoit ouverte, print en icelle ladite sainture semée de pelles, à toute laquelle il s'en ala d'icelle ville de Compiengne, et parti sans le sceu et congié dudit Broart, son maistre; (Reg. crim. Chât., II, 1389-1392, 39)
[4] et que, durant ycelli an, les dis arpens dessus nommez, assis a l'Espine des Festes, et les neuf arpens assis au chemin de Neaufle avoient esté cultivez et labourez et semez d'avaines. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 108)
[5] Pour quoi requeroient les diz religieus de Saint Magloire, ou nom que dit est, que le trouble, empeeschement et nouvelleté mis de par le dit prieur,priouresse et couvent, a tort et sans cause, en leur dicte saisine, comme dit est, indeuement et de nouvel, feussent ostez, et que yceulz religieus feussent tenus et gardez en leur dicte saisine, et ycelli prieur, priouresse et couvent condempnez a cesser de eulz troubler ou empeeschier de lors en avant en leur dicte saisine ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 108)
[6] et, avecques ce, que par celle mesmes sentence, ycelli prieur, priouresse et couvent feussent condempnez es despens qui fais estoient et seroient en ceste cause, la tauxacion reservee pardevers la court sur yceulz, se yceulz prieur, priouresse et couvent ou leur procureur pour eulz et en leurs noms cognoissoient et confessoient les choses dessus dictes estre vraies ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 109)
[7] Et a ycelli jour, les dictes parties ou leurs procureurs pour elles, pour ce presentes en jugement pardevant nous, requerans a grant instance ycelli droit a avoir, sachent tuit que nous, veu le dit procés et tout ce qui en faisoit a veoir, consideré tout ce qui en faisoit a considerer et qui nous pooit et devoit mouvoir a droit faire, eu sur ce conseil de sages, deismes et prononçasmes en ceste maniere : veu le procés fait pardevant nous entre les religieus abbé et couvent de Saint Magloire de Paris, d'une part, contre le prieur, la prieuresse et le c[ouvent de H]aute Bruiere, d'autre part, sus ce que les diz abbé et couvent se disoient en saisine et possession de avoir, prendre et percevoir, chascun an, la moitié de toutes les grosses dismes de certains heritages desclarcis en [leur de]mande, assis ou terrooir et parrochage de la ville de Basoches emprez Montfort, a cause de leur priourté de Montfort, et aussi de prendre et percevoir toute la disme en un arpent de terre ou dit parrochage, ou lieu que on dit la Cousture Sainte Marguerite, tenant aus murs de l'ostel du Coudroy, les quelz heritages sont aus diz prieur, priouresse et couvent, et que, a tort et de nouvel, il avoient esté empeeschiez en la percepcion des dictes dismes par les diz prieur et prieuresse, la dicte partie adverse disant, au contraire, eulz estre en saisine et possession de tenir les diz heritages frans et quictes, et de lever les fruis d'iceulz,et de les appliquier a eulz sans en paier aucune redevance aus diz religieus pour cause de dismes ou autrement, veue et consideree la deposicion des tesmoins, il appert clerement que les diz religieus preuvent souffisaument leur entencion, consideré tout ce qui fait considerer, nous disons que les diz abbé et couvent seront tenus et gardez en leur saisine et possession proposee de par eulz, et ostons au proffit des diz religieus le trouble et empeeschement que les diz prieur, prieuresse et couvent y avoient mis, et les condempnons a cesser dudit trouble et empeeschement ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 111)
[8] Et a ycelli jour, les dictes parties ou leurs procureurs pour elles, pour ce presentes en jugement pardevant nous, requerans a grant instance ycelli droit a avoir, sachent tuit que nous, veu le dit procés et tout ce qui en faisoit a veoir, consideré tout ce qui en faisoit a considerer et qui nous pooit et devoit mouvoir a droit faire, eu sur ce conseil de sages, deismes et prononçasmes en ceste maniere : veu le procés fait pardevant nous entre les religieus abbé et couvent de Saint Magloire de Paris, d'une part, contre le prieur, la prieuresse et le c[ouvent de H]aute Bruiere, d'autre part, sus ce que les diz abbé et couvent se disoient en saisine et possession de avoir, prendre et percevoir, chascun an, la moitié de toutes les grosses dismes de certains heritages desclarcis en [leur de]mande, assis ou terrooir et parrochage de la ville de Basoches emprez Montfort, a cause de leur priourté de Montfort, et aussi de prendre et percevoir toute la disme en un arpent de terre ou dit parrochage, ou lieu que on dit la Cousture Sainte Marguerite, tenant aus murs de l'ostel du Coudroy, les quelz heritages sont aus diz prieur, priouresse et couvent, et que, a tort et de nouvel, il avoient esté empeeschiez en la percepcion des dictes dismes par les diz prieur et prieuresse, la dicte partie adverse disant, au contraire, eulz estre en saisine et possession de tenir les diz heritages frans et quictes, et de lever les fruis d'iceulz,et de les appliquier a eulz sans en paier aucune redevance aus diz religieus pour cause de dismes ou autrement, veue et consideree la deposicion des tesmoins, il appert clerement que les diz religieus preuvent souffisaument leur entencion, consideré tout ce qui fait considerer, nous disons que les diz abbé et couvent seront tenus et gardez en leur saisine et possession proposee de par eulz, et ostons au proffit des diz religieus le trouble et empeeschement que les diz prieur, prieuresse et couvent y avoient mis, et les condempnons a cesser dudit trouble et empeeschement ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 111)
[9] » Et recognut et confessa ycelli Regnaut de Maulion, li comme procureur et en nom procuratoire des dessus nommez Jehan de Sarnay et sa fame et par vertu des dittes lettres de procuracion dessus transcriptes et de sa bonne volenté, non contraint, et de sa certaine science et propre mouvement et des diz escuier et damoiselle, et pour leur pur, cler et evident prouffit faire, et eschiver leur domage, et sanz aucune fraude, lesion, erreur ou decevance, avoir vendu, quitté, cessié, transporté, ottroyé et delessié, et de ce passé, ottroyé et baillié lettres sous le seel de la prevosté de Paris des le vint neuf jours de mars darrenierement passé, les heritages et possessions dont mencion est faite es dittes lettres de procuracion. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 135)
[10] Et pour ce que desclarciz n'estoient a plain yceulz heritages et possessions, vendus comme dit est, sicomme il disoit, es dittes lettres que passé en avoit comme dessus est dit, ycelli procureur par vertu des dittes lettres de procuracion, pardevant les diz notaires jurez comme pardevant nous, vendi ancores, quitta, cessa, transporta, ottroya et delessa par pure, vraye et loyal vente, desorendroit a touz jours, sanz rappel et sanz esperance de jamais venir, faire ou dire encontre, a religieus hommes et honestes l'abbé et le couvent de l'eglise Saint Magloire de Paris dessus diz, achetans pour eulz, pour leur ditte eglise, pour leurs successeurs et pour ceulz qui de eulz et de leur ditte eglise auront cause, tous les heritages, cens et possessions ci aprés devisez et esclarciz que le dit procureur disoit les diz Jehan de Sarnay et sa fame avant la ditte vente avoir, tenir et possider paisiblement du propre heritage dudit Jehan de Sarnay, assis et estans en la parroisse de Machiau et ou terreoir du Chapuis en Brye, c'est assavoir trois arpens que prez que terres ou dit terreoir du Chapuis, tenans au Pré l'Abbé, aus terres du fief Guillaume de Chailliau, a Loys d'Orly et au curé de Machiau, et s'estendent jusques a la chaucié de Penfo,mouvans et tenuz des diz religieux de Saint Magloire, chargiez envers eulz avant ceste vente en six deniers par an ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 135)

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