C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de vu dans 7FMR 
7 attestations 
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[1] et disoient ceulx de Naples que jamais n'avoient vu si bel homme d'armes. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 266)
[2] Je n'ay jamais [vu] tel merveille. (C. Riffl., c.1480-1520, 61)
[3]Agripe, tu as vu se mactin Que mon filz est cuydé mourir. (Pass. Auv., 1477, 127)
[4] Ouquel landemain qui fu lundi penultime jour dudit mois d'ottobre, en jugement sur les quarreaux et en la presence dudit lieutenant et desdiz maistres Dreue d'Ars et Jehan Fouquere, icellui commissaire dist et rapporta que le frere dudit prisonnier lui avoit dit et affermé par serement que sondit frere il n'avoit vu ne parlé à lui XV jours estoient passez et que oncques lesdiz lit, draps et couverture dont il avoit esté interroguez il n'avoit bailliez à sondit frere, et n'en avoit pas si largement. (Reg. crim. Chât., II, 1389-1392, 412)
[5] Lors on eût vu marcher sur le patin Pauvres amants à la tête enfumée, L'un apportait à sa très bien aimée Éponge, peigne, et chacun appareil : L'autre à sa dame étendait la ramée, Pour la garder de l'ardeur du soleil. (R014, 107)
[6] Or tiens-je tout pour vu, Fors celle-là dont veux être pourvu, Qui plongé m'a au gouffre de détresse. (R014, 114)
[7] Jusques au choeur du temple me transporte, Mon oeil s'épart au travers de la porte Faite de fleurs, et d'arbrisseaux tous verts : Mais à grand peine eus-je vu à travers, Que hors de moi churent plaintes, et pleurs, Comme en hiver sèches feuilles et fleurs. (R014, 116)
[8] Vu que tu fais Terre fertile, et grasse, Certainement tel grâce n'est point grâce : Ne celui don n'est don d'aucune chose, Mais plutôt dam (si ce mot dire j'ose) Et ressemblons parmi les biens du monde À Tantalus, qui meurt de soif en l'onde. (R014, 157)
[9] Or est ainsi, Princesse magnanime, Qu'en haut honneur, et triomphe sublime Est florissant en ce camp, où nous sommes, Le conquérant des coeurs des gentilshommes : C'est Monseigneur par sa vertu loyale Élu en chef de l'armée royale : Où l'on a vu de guerre maints ébats, Aventuriers émouvoir gros combats Pour leur plaisir sur petites querelles, Glaives tirer, et briser alumelles S'entrenavrant de façon fort étrange : Car le coeur ont si très haut, qu'en la fange Plutôt mourront, que fuir à la lice : Mais Monseigneur, en y mettant police A défendu de ne tirer épée, Si on ne veut avoir la main coupée. (R014, 184)
[10] C'est celui-là qui toujours en ses mains Tient, et tiendra l'amour de tous humains : Car puis le temps de César dit Auguste, On n'a point vu prince au monde plus juste. (R014, 189)

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