[1] | Sans vostre aide tous [vivants] seroient mors, Et au chaos antique retourneroient, Commencement a febles et a fors De vie estes, sans vous riens ne pourroient. (Cene dieux, c.1492, 114) | [2] | Et si plus haut élève sa personne Dont en son chef il a porté couronne, Pourtant ne doit homme duc dépriser, Qui a voulu (entre vivants) user De sens exquis, et prouesse louable, Plus que du bien de Fortune aimable. (R014, 127) | [3] | et ta postérité, Si elle adhère à ta faute importune, Se sentira de semblable fortune : Car il n'y a que lui, qui sût purger Le trop cruel, et horrible danger De mort seconde : et sans lui n'auront grâce Vos fils vivants, n'aucune humaine race. (R014, 146) |
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