C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de veues dans 7FMR 
254 attestations 
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[1] A grant honeur les ont receues Les Grieux, si tost que les ont veues ; (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 18)
[2] L'office de cest entendement est d'ymaginer toutes choses veues ounon veues selon la quantité de sa force par lesquelles ymaginacion, par bien invistiguer, est engendrée congnoissance, laquelle s'approche plus des choses ouvrales, c'est assavoir des choses que on veult mectre à euvre, congnoistre, et entendre les manieres de les faire et entreprendre. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 65)
[3] L'office de cest entendement est d'ymaginer toutes choses veues ounon veues selon la quantité de sa force par lesquelles ymaginacion, par bien invistiguer, est engendrée congnoissance, laquelle s'approche plus des choses ouvrales, c'est assavoir des choses que on veult mectre à euvre, congnoistre, et entendre les manieres de les faire et entreprendre. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 65)
[4] Ceste parolle, tres noble prince, se puet adrecier à toy comme à Alixandre dont il me semble certainement, veues les proprietéz de cest magnanimité ou hault corage entre toutes les vertus te estre bien seant, et semblablement à tout prince et haulte personne, et pour ce, comme tu soies cellui, est convenable t'y duire et confourmer du tout dès ta premiere juenece, non mie seulement que tu l'ayes ou saches que c'est, mais que par elle tu euvres. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 105)
[5] Dit le Archita Tarentin quese un homme avoit esté ou ciel lui seroit grant durté s'il ne povoit dire à aucun les merveilles que veues y avoit, qui est à entendre que c'est naturel et convenable plaisir à homme parler et deviser à autres. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 106)
[6] Cellui qui est dit de Grace est en l'ame de creature humaine, et cestui est l'entendement qui donne, si comme dit Aristote, ymaginer et comprendre les choses qui sont ou pevent estre et congnoissance d'entendre et concevoir celles que on a veues, oyes et congneues, et discerner les unes des autres en eslisant les unes pour bonnes et deboutant les autres comme mauvaises. (CHR. PIZ., P.V.H., 1416-1418, 34)
[7] La cause pour quoy secretement doit estre c'est pour doubte que vainegloire, qu'il appelle la senestre, qui, tant est soubtil pechié, par temptacion d'ennemy de vouloir estre reputé bon, se fichast en la personne qui publiquement la feroit, mais qui de ce pechié bien se sauroit garder, et que on la feist pour donner bon exemple à autrui de conforter les povres, mieulx seroit la donner en publique et devant les gens qu'en secret, et semblablement est de peleriner et faire les oeuvres de misericorde et tous autres biens, lesquelles choses, par especial à princes et princesses et toute puissant gent, s'en entencion de donner bon exemple le font et sans vaine gloire sont de plus grant merite que à autres gens, pour ce que occasion d'umilité et bien faire donnent, et les choses veues faire ou dire, soit bien ou mal, à grans seigneurs ou dames, plus sont considerées et plus tournent à exemple que d'autres personnes, et par ainsi pues-tu veoir que l'entencion juge l'omme, dont me semble que dire puis sans mesprendre et te ramentevoir pour ton reconfort les grans dons et graces que receues as de ton Createur, qui souffisans sont, s'en toy ne tient, de te mettre ou ciel apres ceste vie, mais que bien en uses et à bien vivre au monde, es quelles choses (louez en soit Dieux! (CHR. PIZ., P.V.H., 1416-1418, 37)
[8] Et ainsi, ma redoubtée dame, en concluant ce que devant est dit, me semble, et il est vray, ces choses veues, que Dieu nostre Createur, qui maintes creatures a fourmées à son ymage, aussi bien comme toy et neantmoins des devant dis .III. biens et aussi des autres, leur a ottroié en ce monde petit ou neant et qui leur vie passent en maintes miseres et grant povreté de santé et d'avoir, t'a donné de grans dons. (CHR. PIZ., P.V.H., 1416-1418, 40)
[9] Doncques, ces choses declairiées et veues, pour une fois souffise, sanz plus repliquer en fin de chascun chapitreci après en ceste partie, par si que attribuée soit la gloire des vertus du dit prince à Dieu et à noblece de courage prise en maniere de theume en ceste premiere part de mon volume. petit ou neant et qui leur vie passent en maintes miseres et grant povreté de santé et d'avoir, t'a donné de grans dons. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 11)
[10] or lui ramentoit memoire l'experience des choses passées, que il a veues, dont or à primes proprement au vray en scet jugier ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 34)

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