C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de vesse dans 7FMR 
13 attestations 
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[1] Quant on se trouvera en presse, Personne ne fera plus vesse Mais on ne fera [plus] que petz. (Rapp., c.1480, 67)
[2] Mais vraiment je sens de la merde Ou une vesse gatinoise. Mais on ne fera [plus] que petz. (Tr. Men., c.1480-1500, 292)
[3] Elle fist, je croy, une vesse Quam ung la mena espouser. (Myst. st Bern. Menth. L., c.1450, 174)
[4] Le .XIJe. chappitre Je vous dy mes voisines, que quant on met blans draps en un lit, l'angele de Dieu s'i repose jusques a ce que on y a fait ou pet ou vesse. (Ev. Quen. I, c.1466-1474, 97)
[5] Maiz si tost qu'on y a fait pet ou vesse, il s'esvanuist. (Ev. Quen. II, c.1466-1474, 129)
[6]À la pepie on leur lave le bec d'huille où ait trempé unecosse d'ail, et leur fait on manger de la straphisagre parmyleur viande : et pour en garentir les petits, on les met sur uncrible qui a servy à la Vesse ou à l'yvraye, et les parfume l'onde pouliot origane, de l'hysope, et du lin, et l'on tient sur lafumee, la teste de la poulle, le bec ouvert : et à l'extreme, pourleur oster du tout, on leur ouvre le bec, et leur tire l'on la languebien doucement : puis avec l'ongle, l'on lieve tout doucementpar haut, en tirant a bas, ce blanc que l'on voit surmonterpar dessus : et apres qu'il est levé et desraciné sans escorcher,l'on leur frotte la langue avec la salive ou un peu de vinaigre :ou l'on la touche d'ail broyé. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 12 v°)
[7]Ou leur baillez tout leur saoul d'orge à demy cuitteavec de la vesse et du millet. fait on manger de la straphisagre parmyleur viande : et pour en garentir les petits, on les met sur uncrible qui a servy à la Vesse ou à l'yvraye, et les parfume l'onde pouliot origane, de l'hysope, et du lin, et l'on tient sur lafumee, la teste de la poulle, le bec ouvert : et à l'extreme, pourleur oster du tout, on leur ouvre le bec, et leur tire l'on la languebien doucement : puis avec l'ongle, l'on lieve tout doucementpar haut, en tirant a bas, ce blanc que l'on voit surmonterpar dessus : et apres qu'il est levé et desraciné sans escorcher,l'on leur frotte la langue avec la salive ou un peu de vinaigre :ou l'on la touche d'ail broyé. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 12 v°)
[8] Pour les accoquiner et apprivoiser baillez leurtantost du mil, puis de la vesse, puis du cumin, car ce grain lesattrait fort, et quelquefois du fourment parmy les cribleures. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 20 v°)
[9] Pour sonmanger fais luy prendre de l'orge, ou vesse en verd : ou sinonde la farine d'orge, dans laquelle tu mesleras du nitre. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 30 v°)
[10] Quoy que ce soit, lafebve, le poix, le ciche, la vesse, ne sont de moindre requesteou faveur que les ers, lupins, cumin, senegré, et la lentille : decela j'en produiray pour tesmoings l'Auvergnac, le Limosin,le Savoysien, et les Daulphinois : duquel labeur, pour n'enparler ici davantage, et comme par superfluité, nous te renvoyonspour en savoir le tout, à la culture des grains et legumesen terres labourables. bec ouvert : et à l'extreme, pourleur oster du tout, on leur ouvre le bec, et leur tire l'on la languebien doucement : puis avec l'ongle, l'on lieve tout doucementpar haut, en tirant a bas, ce blanc que l'on voit surmonterpar dessus : et apres qu'il est levé et desraciné sans escorcher,l'on leur frotte la langue avec la salive ou un peu de vinaigre :ou l'on la touche d'ail broyé. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 55 r°)

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