C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de verroye dans 7FMR 
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[1] Ainçoys escoutoye et regardoye de toutes pars se je verroye ou orroye chose qui me donnast appercevance de ton retour. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 90)
[2] Dieu," dist Madame, "et que ce est belle chose, En verité, je les verroye volentiers, se ne fust la doubte du parler des gens. (LA SALE, J.S., 1456, 90)
[3] " -- " Je le vous dy pourtant ", dist l'une que s'avancha à parler devant les aultres et laquelle Bonne-Lance avoit bien en grace, " je verroye voulentiers ung Anglois. (FROISS., Chron. M., c.1375-1400, 199)
[4] Et pour ce, se vous le voulez, Voulentiers assez tost yroye O les pucelles et verroye Celle dame qu'il doit avoir, Maiz que j'aye fait mon devoir Et mes escüelles lavees Et deswidïes mes fusees Et mise no maison a point. (Gris., 1395, 33)
[5]Grimaut, je te pri et requier, Puis que nous par cy revenons D'oultre mer ou esté avons Au saint sepulcre et Dieu requis, Alons men veoir le marquis, Car pour certain je le verroye Moult voulentiers et si feroie De bon cuer ce qui li plairoit. (Mir. marq. Gaudine, 1350, 153)
[6] Pour rien sa mort je ne verroye, Ne jamais mal ne li feroye. (Mir. emper. Romme, 1369, 278)
[7]C'est ung seigneur de grand regnon, Volentiers, certes, le verroye, Je le recevray a grant joye. Au saint sepulcre et Dieu requis, Alons men veoir le marquis, Car pour certain je le verroye Moult voulentiers et si feroie De bon cuer ce qui li plairoit. (Pass. Autun Biard F., 1470-1471, 69)
[8] Je la verroye voluntiers. grand regnon, Volentiers, certes, le verroye, Je le recevray a grant joye. Au saint sepulcre et Dieu requis, Alons men veoir le marquis, Car pour certain je le verroye Moult voulentiers et si feroie De bon cuer ce qui li plairoit. (Myst. st Bern. Menth. L., c.1450, 10)
[9] Tres voulentiers je vous verroye Se vers vous aller je povoye,Mais, pource que n'y puis courir, Mon bel amy, je vous envoye. (RÉGN., F.A., 1432-c.1465, 92)
[10] - C'est bien cause pour vous tourbler, Mais ja ne m'en ahonteroye, Dist elle, puis que je verroye Que je perderoye mon temps. (Dit prunier B., c.1330-1350, 46)

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