C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de veoyt dans 7FMR 
10 attestations 
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[1] Mais il n'avoit nulle craincte, qui me semble une très grande espesse de follie, de ne craindre son ennemy ne vouloir croire riens, veü l'appareil qu'il veoyt. (COMM., I, 1489-1491, 197)
[2] La conclusion des gens dudict connestable estoit qu'ilz conseilloient au roy que, pour eviter tous ces grans perilz qu'il veoyt appareilléz contre luy, qu'il print une trève et que ledict connestable se faisoit fort de le guyder et que, pour contenter ces Angloys, que on leur baillast seullement une petite ville ou deux pour les loger l'yver, qu'elles ne sçauroient estre si meschantes qu'ilz ne s'en contentassent. (COMM., II, 1489-1491, 50)
[3] car il avoit faict ceste alliance pour craincte de ce qu'il veoyt audict duc de Bourgongne avoir si grant faveur en Ytalie. (COMM., II, 1489-1491, 110)
[4] Toutesfois elle estoit en grant craincte de tomber soubz sa main, n'eust esté le lieu où elle se veoyt, car la hayne avoit esté grande et longue entre ledict seigneur et elle. (COMM., II, 1489-1491, 125)
[5] et puis ceste armée du roy estoit logée en Barrois, comme j'ay dit, laquelle ne faisoit nulle guerre, mais veoyt qui auroit du meilleur. (COMM., II, 1489-1491, 144)
[6] Et davantaige congnoissoit bien tout cela le roy: car, en telles choses, veoyt aussi cler que nul homme de son royaulme que ces Gantoys dessusdictz de tout temps desiroyent veoir leur seigneur appetisser, mais qu'ilz n'en sentissent riens en leur pays. (COMM., II, 1489-1491, 193)
[7] Pourquoy doncques bailloit-il tout ce que j'ay dit et destruysoit ses enfans et son royaume, pour ce qu'il croyoit ce qu'il veoyt et qu'il savoit bien que autrement ne seroit delivré. (COMM., II, 1489-1491, 226)
[8] car il avoit faict ceste alliance pour craincte de ce qu'il veoyt audict duc de Bourgongne avoir si grant faveur en Ytalie. (COMM., II, 1489-1491, 110)
[9] Toutesfois elle estoit en grant craincte de tomber soubz sa main, n'eust esté le lieu où elle se veoyt, car la hayne avoit esté grande et longue entre ledict seigneur et elle. (COMM., II, 1489-1491, 125)
[10] et puis ceste armée du roy estoit logée en Barrois, comme j'ay dit, laquelle ne faisoit nulle guerre, mais veoyt qui auroit du meilleur. (COMM., II, 1489-1491, 144)

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