C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de vendist dans 7FMR 
9 attestations 
 Page /1 

[1] Et, ce voyant, Fabius vendist son heritage et tint sa promesse à Hannibal. (BUEIL, II, 1461-1466, 71)
[2] Et aussi se submist et obliga le dit Monseigneur Regnault au dit Monseigneur Jehan, son frere, que si aucun se clame de luy pour avoir la dicte terre à quelque tiltre que ce soit, que il ne traitera, appointera ne delessera le dit vendre en aucune maniere que ce soit, en l'absence du dit Monseigneur Jehan, affin que de l'argent que paieroit et bailleroit celui qui de luy se clameroit, l'en payast et vendist au dit Baudouin la somme d'or ou d'argent par lui baillie au dit MonseigneurRegnault de la dicte terre, ainsi que tenus et obligez y sont. (6205, 473)
[3] Et, en oultre, fut crié que nul marchant ne vendeist ausdiz gens de guerre ne prestast aucuns draps de soye ne camelotz, sur peine de perdre l'argent que lesdictes gens de guerre leur pourroient devoir à cause de ce, et aussi qu'on ne leur vendist aucun drap de laine plus de XXXII sous parisis l'aulne. (ROYE, Chron. scand., I, 1460-1483, 306)
[4] et cependant la mer se retyra et fut le voyaige rompu, et faillut que mons. de Berry s'en allast avec le duc à Caen, où il faillut que ledit mons. de Berry vendist sa vesselle pour nourrir ses gens, disant qu'il aymoit mieulx menger en vesselle d'estain et de boys avant que ses gens ne fussent nourris. (LE CLERC, Interp. Roye, c.1502, 202)
[5] " Et envoya unes lettres au seigneur de Bajaumont, par lesquellez il luy mandoit qu'il vendist à mondit seigneur le mareschal laditte espée la somme de six blans, pour en faire dire une messe en l'onneur de Mons. saint George pour ce qu'il estoit d'oppinion que on ne devoit riens donner qui picquast à son amy. (LE CLERC, Interp. Roye, c.1502, 381)
[6] et pour soy rachetter, falutqu'il employast tout son meuble, et vendist sa terre de Fougieres au duc de Brethaingne et depuis ne eust de quoy loy rachetter. (JUV. URS., Exort., 1458, 420)
[7] Laquele Guillemete, jurée sur ce de dire verité, dit et afferme par serement que la plainte cy-dessus, par elle et sondit mary faite, est vraye, et oultre que, environ deux jours paravant ce que ledit prisonnier lui vendist icelle vaissele d'estain, icelli prisonnier et un autre homme en sa compaignie avoient couché par deux nuys en leur hostel. (Reg. crim. Chât., II, 1389-1392, 32)
[8] et par icelle dame lui commandé que il vendist icelles choses, et en acquitast sondit seigneur et elle aus marchans à qui ilz povoient devoir. (Reg. crim. Chât., II, 1389-1392, 360)

Fermer la fenêtre