| [1] | Et vecy bonne resverie, Je croy que la chevalerie Des preux passez plus les alose Que leur noblece dire l'ose, Je dis noblece de ligniee. (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 161) | | [2] | En une autre epistre cellui Dit, et vecy les moz de lui : Je ne voy, dit il, autre bien En noblece qu'on aime bien, Mais que les nobles sont contrains Et par neccessité astrains A ce qu'ilz mie ne forlignent De la noblece dont ilz lignent Leurs renoms, qu'ilz reputent gloire, Quant ilz sont de longue memoire. (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 178) | | [3] | Le Policratique le preuve, Et vecy comment il l'appreuve : Comme il fust ainsi, ce dit il, Que les paiens, la gent gentil, Tenissent que homs jeunes ne vieux, Sanz avoir le conseil des dieux, Ne deust faire nulle riens,Toutefois entr'eulx une riens Avoient que ilz honnouroient, Comme souvrain dieu l'aouroient Et com prince de toutes choses, Ou toutes bontez ot encloses. (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 228) | | [4] | Vecy qu'Aristote en escript, Se a memoire j'ay son escript : Pour ce que sapience est mere De toutes vertus non amere, Par les meilleurs raisons monstree Elle doit estre et demonstree. (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 230) | | [5] | Et vecy les occasions qui y font les troubles: les serviteurs ne se peuent tenir de parler des choses passées; (COMM., I, 1489-1491, 141) | | [6] | Vecy la première male adventure et fortune que cedit duc avoit jamais eue en toute sa vie. (COMM., II, 1489-1491, 105) | | [7] | Oÿ que eut le roy la substance de la charge de cest embassadeur, le feït venir en sa presence, où il n'y avoit que moy, et luy dist en brief: " Vecy monsr d'Argenton, qui m'a dit telles choses. (COMM., II, 1489-1491, 110) | | [8] | Ainsi vecy desjà ung des heurs de l'adversité et ung grant homme mué, qui avoit envoyé une si grant et si solemnelle embassade vers le duc de Bourgongne pour faire son alliance, n'y avoit que trois sepmaines. (COMM., II, 1489-1491, 111) | | [9] | Vecy la première male adventure et fortune que cedit duc avoit jamais eue en toute sa vie. (COMM., II, 1489-1491, 105) | | [10] | Oÿ que eut le roy la substance de la charge de cest embassadeur, le feït venir en sa presence, où il n'y avoit que moy, et luy dist en brief: " Vecy monsr d'Argenton, qui m'a dit telles choses. (COMM., II, 1489-1491, 110) |
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Attestation de 