C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de vassal dans 7FMR 
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[1] Au vassal despleut du herault Dont il parle si haultement, Mais au vieillart petit [en] chault. (CHART., D. Her., p.1415, 424)
[2] Lors lui dit rigoureusement Le jeune vassal: " Or ça, sire! (CHART., D. Her., p.1415, 424)
[3] " Le Vassal . (CHART., D. Her., p.1415, 429)
[4] Le vassal lui dist: " Quel remede, Que pensés vous, que ce sera? (CHART., D. Her., p.1415, 434)
[5] Lors le jeune vassal despit Lui dist: " Beau sire, quant je y pense Il me semble que ces villains Ont trop beau compter sans rabatre, Car ilz ne sont jamaiz contraings [De soy] faire tüer ne batre ". (CHART., D. Her., p.1415, 435)
[6] Et doncques tu, vassal de Dieu, de lui permis, n'es tu pas le restoreur, le repareur, le conforteur de toute France qui as mué guerre en paix, dueil en joye, mort en vie, hayne en amour, effusion de sang en convalescence, cherté en habondance et tout mal en bien ? (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 61)
[7] Glorieux roy de France, excellent Majesté est de telz biens garnie, car, ad ce que digne Renommée, en la journée d'ui, vostre hault nom denonce sur tous princes mortelz, vous ne recognoissiez autre souverain que Dieu, comme il appert en la Decretale des enfens legittimez «per venerabilem», aussi que replains soiez des perfections mondaines, qui aduisent à prince, soient accidentales ou propres, comme il appert, tant par considerer vostre sang valereux, de qui l'estat resplendist par tout pais, par remirer vostre magnificence et voz propres coustumes, comme aussi par celles remembrer, que digne recordance recite de jadis, lesquelles sont à plain declairiés, tant par les genealogies de voz predecesseurs, comme en faiz d'autres aussi, et que la refflambeur de vostre dyademe, qui naturelement reluit en marche de delices, precelle tous royaumes, par qui lueur toutes terres s'esclairent et se duisent à meurs, par qui aussi, si comme chascun scet, vassal de Dieu et le premier des roys vous estes appellés, et encore non mie seulement vous soiez aornez de ses biens de dehors, mais pardedens vous estes revestus des richeces de l'ame, si que de biens vous reluisiez en toutes choses, et morigineement vivez, et en vertus occupez vostre temps, aussi ediffiez et valez au commun, amez les bons et ceulz d'entendement, par quoy et si qu'en la succession des roys de pareil nom vous estes le .Ve., Charles le Sage doyez estre appellez par distinctées vertus, dont et pour ce que vous estes si ami de vertus, cognoiscent que c'est souveraine felicité, la richece d'entendre, vous instruit es sciens civiles, tres sage philosophe et expert es estoilles, voiant qu'en l'ordre des sciences sapience est la desreniere, l'amez comme singuliere chose ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 8)
[8] Moult vaillamment sa gent conforte, Moult les prie, moult les enorte Qu'il soient vaillant et vassal. (MACH., P. Alex., p.1369, 206)
[9] Fortune qui est si fainte Si s'acointe Tousjours du bien ou du mal, L'ung ou l'autre si appoincte Par attaincte A joyë ou a traveil, Soit homme d'estat royal Ou vassal, Se sa roue l'a enceinte Il n'y a ne mont ne val Ne cheval Qui le gard d'avoir la pointe. (RÉGN., F.A., 1432-c.1465, 30)
[10] Mais non contretant vecy vostre vassal a faire ce qu'il vous plairoit a commander. (ARRAS, c.1392-1393, 127)

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