C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de vaqueroient dans 7FMR 
2 attestations 
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[1] Cedit jour, maistre Guillaume Le Clerc, conseiller du Roy ceans, ou nom de lui et de maistre Gautier Ponce, aussy conseiller du Roy ceans, en la presence de Pierre Simon, procureur de messire Loiz de Poitiers et de dame Katherine de Giac, sa femme, et de Vital Torencha, procureur du seigneur de Tournon, a exposé que comme aient vacqué par pluseurs jours à l'execution de pluseurs arrests de ceans par lesdiz Loiz et sa femme contre ledit de Tournon, dont leur est deue la somme de CCCC et VIII frans, dont s'est obligié ledit Tournon envers eulx à paier dedans la St-Jehan prouchain venant, et aient promiz de determiner par la deliberation d'aucuns des seigneurs de ceans au landemain de Quasimodo prouchain, ou d'en faire ordonner par la Court, et il n'aient pas eu temps d'en ordonner ou faire ordonner par icelle Court, et pour avoir adviz avec lesdiz seigneurs ait assembler durans les festes de Pasques derrienes et depuiz pluseurs desdiz seigneurs comme commissaires, lesquelx y ont vaqué sans avoir satisfaction, et ancor ait pluseurs choses à parfaire, pourquoy ont requiz lesdiz procureursqu'il paiassent et contentassent lesdiz seigneurs de ce qu'il y ont vaqué, et aussi leur respondissent de ce qu'il y vaqueroient, disans que à eulx ne tenoit pas qu'il n'eussent leur droit audit jour, pourquoy protestent que se par lesdiz procureurs ou leurs maistres tenoit que il ne peussent ordonner desdiz debas, que ce ne leur soit imputé qu'il ne se puissent faire paier dudit de Tournon audit terme, car il estoient prests de faire ce qu'il appartendroit avec lesdiz seigneurs et faire ce qu'avoient promiz, maiz qu'il feissent que lesdiz seigneurs y voulsissent entendre, en les contentant, comme dit est. (BAYE, I, 1400-1410, 227)
[2] Ce jour, la Court, pour certaines justes et raisonnables causes, ordonna que maistre Nicolas de l'Espoisse revendroit et demourroit en son office de greffier des presentacions, lequel il exerceroit comme il avoit fait par avant, et lui dist monseigneur le Chancelier qu'il exercast ledit office ainsi qu'il avoit acoustumé, et ja soit ce qu'il ne fust mie notaire du nombre ordinaire, neantmoins lui fu dit par monseigneur le Chancelier qu'il signast comme notaire, et que on leferoit par le Roy creer notaire supra numerum , sans prejudice, etc., et seroit pourveu des gaiges et bourses qui premierement vaqueroient, et interim que on le recompenseroit le plus convenablement que on pourroit du prouffit et emolument qu'il souloit prendre à cause des bourses de notaire. (FAUQ., I, 1417-1420, 162)

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