C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de usent dans 7FMR 
74 attestations 
 Page /8 

[1] Ceulx qui s'en rusent, A jeu de dez, ou pis, souvent s'amusent Ou a suÿr quoquars qui les abusent, Ou a chacer corps, temps et robes usent. (CHART., D. Fort., 1412-1413, 177)
[2] J'ay pour loyauté le rebours De ceulx qui usent des faulx tours, Et bien leur vient. (CHART., L. Dames, 1416, 207)
[3] Autres ont accepté lez magistratz d'homme choisi et essaulcé en seigneurie ou principauté pour sa vertu, et cestuy principat s'apelle aristocracie, qui est a dire puissance de vertu, de laquelle userent les senateurs de Romme, et lez Venissiens en l'institution de leur duc en usent encores. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 69)
[4] Et à dire selon ce que aucuns usent de langage que, quant on muert, on ne scet où l'on va est mal dit et opinion et parole qui moult fait à reprendre, comme nous ne soions pas crestiens ne dignes d'y estre appellez, se foy n'avons et ferme creance en ce que la Sainte Escripture nous certifie du sauvement ou dampnacion des ames selon les fais et commande à croire la foy et loy de Dieu. (CHR. PIZ., P.V.H., 1416-1418, 42)
[5] Si en usent comme prudens, En charité, sanz trop ardans Estre, ne que leur cuer noié Soit a convoitier ; (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 172)
[6] Et qu'a desprisier elles facent Et ceulx pou louer qui amassent Au coust d'autrui diversement, Et en usent mauvaisement, Toute en est plaine l'escripture. (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 209)
[7] Il se doit prendre à traire pierres de fondes, et par ce fu fait David roy, qui conquist Golias, et ceste maniere de combatre soloit estre en cours ancienement, et fu trouvée en une ysle de mer, où les meres ne donnoient nulles viandes à leurs enfens, jusques à ce qu'ilz eussent assené leur viande de la fonde, et ceste maniere de combatre est bonne à grever ses annemis de loins, et en plusieurs pais encore en usent. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 208)
[8] Après dist Aristote : «Cellui nous disons estre sage, qui est poissant de la vertu de son entendement à cognoistre choses qui soient difficiles et communement aux hommes non cogneues, mais nous ne disons pas que les cognoissances, qui se font par les sens, soit science, ne que ceulz [soient sages] qui les ont et en usent en tant que est de l'user, car pour ce sont ycelles vertus legieres que elles sont en chascun, mais nous dison encore estre sage ycellui qui des choses qu'il scet a plus certaineté que les autres hommes et mieulz disant les causes ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 169)
[9] la generacion perverse qui en lieu de dens usent de glaives, non mie pour mordre mais pour tout trenchier. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 38)
[10] mais vous povez veoir en lisant ces choses, avecques ce que vous en sçavez davantaige, que de ces mauvais princes et autres ayans les auctoritéz de ce monde et qui en usent cruellement et tyranniquement, que nul ou peu n'en demeure impugny. (COMM., I, 1489-1491, 192)

74 attestations 
 Page /8 
Fermer la fenêtre